fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Le biogaz pour prolonger l’autonomie des bus électriques

12 Nov 2019

biogaz , bioGNV , bus , Bus électrique , RNTP , Transport public

Dossiers > RNTP sous le signe de la transition énergétique > Le biogaz pour prolonger l’autonomie des bus électriques

Article présent dans le dossier : RNTP sous le signe de la transition énergétique

Bus biogaz

Dans la course aux bus électriques, non polluants, l’enjeu c’est l’autonomie des batteries. A Grenoble, Transdev associe le bioGNV (gaz naturel issu de la méthanisation) à l’électricité pour tenter de prolonger cette autonomie d’une dizaine de kilomètres. L’opérateur du réseau Tag, les transports urbains grenoblois va en effet tester un bus électrique muni d’un prolongateur d’autonomie au biogaz. Initié par le laboratoire d’expérimentation des mobilités de l’agglomération grenobloise (Lemon), le projet sera suivi par ce laboratoire de Transdev.

Un véhicule hybride imaginé par le constructeur albigeois Safra, sur la base de son modèle Businova, qui livrera son engin expérimental en novembre 2020 au réseau Tag. Annoncé avec une autonomie de 250 km (contre 200 km en moyenne pour un bus électrique), il circulera sur une ligne de huit kilomètres, en zone périurbaine. Le bon de commande a été signé le 1er octobre, lors des Rencontres nationales du transport public (RNTP), organisées à Nantes.

Le bus hybride aura deux moteurs : un électrique de 250 kW alimenté en continu par un pack batteries de 132 kWh embarqué sur le toit du véhicule. Et un moteur thermique au biogaz qui remplace le moteur diesel et recharge les batteries. Les réservoirs de gaz sont également stockés sur le toit.

Nathalie Arensonas

Il vous reste 74% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier RNTP sous le signe de la transition énergétique dans le magazine VR&T n°629

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique