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Lille veut le tram-train en 2017

Mis à jour le 23 mai 2017

Eric Quiquet, vice-président aux transports de Lille Métropole, affiche une détermination sereine « sans mauvais jeu de mots, le dossier du tram-train est sur les rails et il est irréversible, nous le ferons. Les tracés sont opérationnels et permettent de desservir des zones aujourd’hui non couvertes par un mode lourd, toutes les 10 à 15 minutes ». Eric Quiquet, vice-président aux transports de Lille Métropole, affiche une détermination sereine « sans mauvais jeu de mots, le dossier du tram-train est sur les rails et il est irréversible, nous le ferons. Les tracés sont opérationnels et permettent de desservir des zones aujourd’hui non couvertes par un mode lourd, toutes les 10 à 15 minutes ». Initié au début des années 2000, le projet de tram-train qualifié par l’élu Vert de « serpent de mer » pourrait être mis en service en 2017. Et ce, malgré le développement parallèle du projet de tramway du bassin minier, porté par la région Nord-Pas-de-Calais. Sujet sur lequel les élus de Lille Métropole restent sceptiques, défendant toujours la solution d’un renforcement des voies ferrées existantes.
Le conseil communautaire du 1er avril a voté le lancement d’études de faisabilité de la première phase du projet de tram-train, à hauteur de 800 000 euros (sur un budget total de 560 millions d’euros). 27 km et deux lignes : une de 17 km, reliant Haubourdin au sud de la métropole et Comines au nord ; la seconde, de 10 km, faisant la jonction entre Lille et Seclin au sud. Les rames rouleraient en partie sur la voirie, en partie sur les voies ferrées existantes. L’idée est de faire de la place de la République à Lille un nouveau nœud multimodal et de décharger la gare Lille Flandres et la porte des Postes, deux sites souvent engorgés. D’une durée d’un an, les études doivent permettre de valider les modalités techniques et d’entériner les tracés. Eric Quiquet se dit confiant, ayant déjà opéré une concertation avec les élus concernés « certaines questions se posent encore, les études sont là pour y répondre, mais l’accueil est globalement très positif ». Et revient sur la tradition lilloise du tramway, une manière de souligner le caractère évident du projet : « nous n’inventons rien, Lille a été une ville de tramway pendant une large partie du XXe siècle, les lignes ont été déconstruites à la fin des années 60. La voiture a tout balayé, l’idée est de permettre une véritable complémentarité entre les modes de transports proposés, de façon à encourager les gens à moins utiliser leur voiture ». Une deuxième phase d’études sera lancée d’ici un an. Elle portera sur une éventuelle troisième ligne de tram-train, reliant l’est et l’ouest de la métropole entre La Bassée et Baisieux, avec un horizon de mise en service en 2020.
    

Marie Raimbault
 

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