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Ewa

RER NG : un retard qui tombe mal pour Valérie Pécresse

Intérieur RER NG

Coup de sang de la principale cliente d’Alstom et de la SNCF ou posture d’une possible candidate aux élections présidentielles ? Toujours est-il que le tweet envoyé par Valérie Pécresse le 26 octobre est cinglant : « Sentiment de trahison et rupture de confiance: le RER de nouvelle génération d’Alstom/Bombardier aura 2 ans de retard! Je dénonce « un naufrage industriel » qui pénalisera durement les voyageurs du RER D. Malgré les 3 Mds€ engagés par ⁦@IDFmobilites ».

A ce sujet, dans un courrier adressé à Jean-Pierre Farandou, Valérie Pécresse souligne que la SNCF – qui l’a quand même informée par un audit que la première rame du RER NG serait retardée à mi-mai 2023 – « n’a pas été en mesure d’empêcher ces dérives de planning successives ». Des dérives qui s’ajoutent aux années de retard prises durant le processus d’appel d’offres, initialement lancé en 2012 par la SNCF, pour n’aboutir qu’en 2017, avec le choix de l’offre Alstom-Bombardier, après deux tentatives déclarées « infructueuses ». Ironie de l’histoire, l’offre de CAF avait alors été rejetée au prétexte que le site de Bagnères-de-Bigorre n’aurait pas eu les capacités industrielles suffisantes…

Quatre ans plus tard, la présidente d’Île-de-France juge la situation « totalement inacceptable » dans son courrier  adressé à Henri Poupart-Lafarge, PDG d’Alstom et seul constructeur du RER NG depuis sa reprise de Bombardier. Selon Valérie Pécresse, les « retards répétés » sont dus « principalement à des défauts d’organisation relevant d’un manque manifeste de maîtrise du processus industriel, inconcevable de la part d’un leader mondial du secteur ».

Valérie Pécresse exige que la SNCF demande 64 millions d’euros de pénalités pour le retard sur la première tranche de 71 rames.  La révélation de ce retard du RER NG, qui doit rouler sur les lignes du RER D et E, intervient quelques semaines après l’annonce d’un surcoût de 1,7 milliards d’euros de la part de SNCF Réseau sur le chantier du prolongement vers l’ouest du RER E.

Interrogé par BFM Business, Alstom indique que « plusieurs éléments nous ont contraints à décaler la livraison des premiers trains, notamment la grande complexité technique de ce nouveau matériel, ainsi que l’intégration d’un nouveau système de signalisation, des évolutions du cahier des charges en cours de projet et l’impact de la crise sanitaire sur la production, les campagnes d’essais et nos fournisseurs ».

De son côté, SNCF Voyageurs « regrette vivement les retards accumulés dans les livraisons par Alstom-Bombardier du RER NG et partage le mécontentement de son autorité organisatrice Ile-de-France Mobilités ». L’entreprise rappelle avoir « déclenché dès mai 2021 un audit externe qui a confirmé le retard pris par Alstom, identifié des risques, émis des préconisations à l’intention d’Alstom et permis de définir un nouveau planning de livraison ». Un nouveau planning qui reporte les livraisons après les prochaines élections présidentielles.

P. L.

Ewa

Alstom a lancé la construction en Suède de son centre d’innovation dans la mobilité électrique

Futur centre d'innovation Alstom de la mobilité électrique, Västerås, Suède

Bombardier l’avait annoncé il y a un an, Alstom l’a fait : le 5 octobre, le premier coup de pelle a été donné sur le chantier de construction du futur centre d’innovation pour des solutions de transport électrifiées vertes. Un centre implanté en Suède, à Västerås, ville industrielle située au bord du lac Mälaren, à une centaine de kilomètres de Stockholm.

« Avec sa situation géographique, sa proximité avec les entreprises de la région et ses liens avec l’Université de Mälardalen, Västerås est l’endroit parfait pour cet investissement », a déclaré Rob Whyte, PDG d’Alstom Nordics & Russia, soulignant que « la Suède est à l’avant-garde de la transition verte ». Ce centre « fonctionnera comme une plaque tournante pour les échanges d’idées et comme un endroit où les entreprises pourront développer et tester des innovations dans le domaine de la mobilité durable ».

Au cœur des activités du nouveau centre se trouvera du laboratoire d’Alstom à Västerås, qui permettra à des acteurs externes de développer des systèmes de traction électrique. « Par cet investissement, Alstom souhaite contribuer à accélérer la transition grâce à une collaboration intersectorielle. Les innovations futures en matière de transport permettant de faire face au changement climatique seront le résultat d’une fertilisation croisée entre l’industrie, l’université et les start-up ».

Présente depuis qu’il existe sur le site de Finnslätten, où le nouveau centre d’innovation devrait ouvrir en 2023, l’entreprise ABB a également exprimé sa satisfaction vis-à-vis de cette implantation. Rappelons que les activités ferroviaires d’Alstom à Västerås ont été reprises à Bombardier, qui les tenait à son tour d’Adtranz, successeur d’ABB Traction…

P. L.

Ewa

Alstom choisi pour le métro automatique de la ligne 18 du Grand Paris Express

Métro Grand Paris Express Alstom

Carton plein sur le Grand Paris Express. Déjà choisi pour fournir les matériels roulants des futures lignes 15, 16 et 17 du Grand Paris Express, Alstom a été désigné par la Société du Grand Paris (SGP), en lien avec Ile-de-France Mobilités (IDFM), pour la fourniture des rames et des automatismes de conduite de la ligne 18. Longue de 35 km, dont 14 km en aérien, cette ligne doit relier Versailles et Orly via le plateau de Saclay.

Chiffré à 400 millions d’euros et concernant le développement et la fourniture d’un maximum de 37 rames, des automatismes de conduite de ces dernières et des postes de commande centralisée de la ligne 18 et de ses 10 gares et stations, ce contrat a été attribué à l’issue d’une procédure négociée avec mise en concurrence préalable lancée en 2019. Ce marché, dont la tranche ferme de 15 rames est évaluée à 230 millions d’euros, comprend également la prestation d’intégrateur général pour la gestion des essais ainsi que la fourniture des équipements industriels de maintenance des trains. Pour ce qui est du financement, IDFM est responsable de l’ensemble des dépenses relatives au matériel roulant voyageurs et ses équipements embarqués, alors que la SGP prend à son compte la réalisation des automatismes de conduite et des commandes centralisées.

La ligne 18 sera exploitée par des rames Metropolis d’Alstom à roulement fer, qui pourront circuler jusqu’à 100 km/h en mode automatique sans conducteur. Les automatismes de conduite Urbalis Fluence, dont le principe repose sur une communication directe de train à train, permettront à ces derniers de se succéder toutes les 85 secondes en heure de pointe.

De la même gamme que les rames destinées aux lignes 15, 16 et 17 du Grand Paris Express, le matériel roulant pour la ligne 18 sera adapté aux caractéristiques et aux besoins spécifiques de cette dernière. Longues de 47 m pour trois caisses, les rames pour la ligne 18, qui comprendront trois larges portes par face et par voiture, seront accessibles pour les personnes en situation de handicap. L’aménagement ne comprendra que 54 places assises, l’accent ayant plutôt été mis sur la largeur des passages et le confort des intercirculations, permettant de transporter jusqu’à 350 personnes, selon le communiqué commun de la SGP, IDFM et Alstom. « Une attention toute particulière est portée aux émissions sonores, aux vibrations et aux émissions atmosphériques », précise ce communiqué. « Une minimisation des émissions de particules de frein sera réalisée grâce au freinage électrique jusqu’à très basse vitesse, limitant ainsi l’utilisation de disques de frein. Par ailleurs, la récupération de l’énergie de freinage contribue à la recharge des batteries ou à l’alimentation du réseau électrique général. Enfin, le taux de recyclabilité est de plus de 96 % et celui de valorisation du train, suivant les normes européennes en vigueur, de plus de 98 % ».

Les sites Alstom de Saint-Ouen et Villeurbanne assureront le développement et le déploiement des automatismes de conduite, de transmission de données et des commandes centralisées (du type Iconis), ainsi que l’intégration générale du système de transport. Côté matériel roulant, le site de Valenciennes Petite-Forêt sera chargé de la gestion du projet, des études, du développement, de la production, de l’assemblage et de la validation des rames, les premières étant attendues en 2024 pour être alors mises à disposition du futur opérateur choisi par IDFM. En outre, le contrat « porte un engagement soutenu en matière d’insertion sociale en favorisant le retour à l’emploi de personnes qui en sont éloignées ». Ce contrat prévoit enfin la sous-traitance d’une partie de l’activité à des petites et moyennes entreprises.

P. L.

Ewa

La RATP et IDFM commandent à Alstom les nouveaux trams du T1

Tram T1
RATP

Ile-de-France Mobilités (IDFM) et la RATP ont annoncé avoir conclu avec Alstom un marché portant sur un maximum de 120 tramways pour un montant de 310 millions d’euros, dont une tranche ferme de 37 rames pour le renouvellement du parc de la ligne T1. Cette ligne de rocade au nord de Paris est équipée depuis l’ouverture de sa première section, en 1992, de Tramways français standard (TFS), le parc d’origine ayant été complété en 2003-2004 par les TFS qui avaient été mis en service en 1997 sur la ligne T2.

Outre les rames pour le renouvellement du parc du T1, le marché comprend une tranche optionnelle de 83 tramways « afin de renforcer l’offre de transport et répondre aux besoins liés aux prolongements en cours », ajoutent la RATP et IDFM.

Les futurs tramways pour les lignes franciliennes seront équipés de six portes doubles de 1,30 m par côté (contre quatre actuellement), y compris aux extrémités, d’un accès facilité pour les personnes à mobilité réduite, d’une climatisation, d’une information sonore et visuelle dynamique et circonstanciée, ainsi que d’une vidéo-protection. Par rapport au TFS, la capacité de transport sera augmentée de 15 % et parmi les nouveautés, des prises USB pour recharger les téléphones mobiles ou des éclairages 100 % LED sont également prévus. Par ailleurs, les nouveaux trams seront équipés d’un système embarqué de comptage de voyageurs par flux, afin de mesurer plus finement la fréquentation du T1 et d’améliorer le service.

La motorisation devrait permettre de réduire la consommation en énergie de traction « d’au moins 30 % par rapport au matériel actuel », le futur matériel étant en outre équipé d’un freinage électrique « très performant ».

« Recyclable à 95 % et valorisable à 99 % », ce futur tramway fera l’objet d’un appel à consultation publique de la part d’IDFM, qui proposera trois designs extérieurs et intérieurs. Une démarche récemment mise en œuvre pour le design du futur MI20.

P. L.

Ewa

Jérôme Wallut devient directeur commercial d’Alstom

Jerome Wallut

Le 1er octobre, Alstom a annoncé la nomination de Jérôme Wallut comme directeur commercial. Précédemment président d’Alstom Amérique, il est désormais responsable des activités commerciales à l’échelle mondiale, notamment de la stratégie commerciale, du développement des affaires et des affaires publiques. « A ce poste, Jérôme Wallut devient un membre de l’équipe de direction d’Alstom et rend compte directement à Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général d’Alstom et président du Conseil d’administration ».

Diplômé d’ingénierie aérospatiale et de l’école de commerce INSEAD. Jérôme Wallut a commencé sa carrière chez Airbus, où il a occupé diverses fonctions dans la division après-vente, au sein du département des essais en vol, puis au sein du département des programmes et du centre de livraison. Il a rejoint Alstom Transport en 2000 comme directeur des Méthodes de management de projets, et a été promu directeur des Opérations en Asie au sein du département signalisation. En 2003, il est devenu directeur Grands comptes pour la RATP et RFF, et a peu après été nommé vice-président de la joint-venture Casco Signal Ltd. en Chine. De 2007 à 2009, il a occupé les fonctions de directeur Grands comptes pour la SNCF, avant de devenir vice-président senior d‘Alstom Transport France en 2010. C’est en 2014 qu’il a été nommé vice-président senior d‘Alstom Transport en Amérique du Nord, deux ans avant la commande par Amtrak de 28 rames Avelia Liberty.

P. L.

Ewa

Alstom équipera la phase 2 de la ligne circulaire du métro de Taipei

Taipei Metro

Un consortium dirigé par Alstom, avec la société taïwanaise de services d’ingénierie CTCI, a décroché auprès du bureau de projet E&M du département des Réseaux de transport de la ville de Taipei (SEMPO), un contrat d’équipement de la phase 2 de la ligne circulaire du métro de la capitale taïwanaise.

Cette phase 2, qui comprend un tronçon nord (12 stations souterraines et un dépôt sur 14,93 km) et sud (six stations souterraines sur 5,73 km), fait suite à la phase 1, ouverte en janvier 2020 (dite tronçon central, elle compte 14 stations et un dépôt sur 15,4 km). Estimé à près de 720 millions d’euros, dont plus de 430 millions d’euros pour Alstom, ce contrat-cadre comprend en option l’équipement de la future phase 3 (tronçon est) de cette ligne à conduite automatique.

Alstom assurera la fourniture de 29 rames Metropolis de quatre voitures entièrement automatisées (niveau GoA4, sans personnel à bord), du CBTC Urbalis 400, du système de contrôle et d’acquisition des données (Scada) et des portes palières. CTCI, pour sa part, gérera les travaux de voie, la fourniture de l’alimentation électrique, l’équipement du dépôt, les systèmes de télécommunication et de billetterie. Alstom assurera enfin la gestion du projet et l’intégration globale du système.

A noter que la phase 2 de la ligne circulaire est le deuxième projet de métro clés en main remporté par le consortium Alstom-CTCI à Taipei, après la ligne Wanda – Zhonghe – Shulin.

Alstom précise que ses sites industriels de Taubaté (Brésil, pour le matériel roulant), de Bologne (Italie, pour la signalisation) participeront au projet de la ligne circulaire, assistés par les sites de Bangalore (Inde), de Saint-Ouen, Le Creusot et Ornans (France), mais aussi de Taipei (Taïwan). La gestion du projet et l’intégration du système seront gérées localement avec l’aide du centre d’ingénierie clés en main d’Alstom.

Ewa

Accord de coopération dans la cybersécurité entre Airbus et Alstom

Poste de contrôle centralisé du tram d'Avignon

Airbus CyberSecurity et Alstom ont annoncé, le 8 septembre, la signature d’un accord de coopération dans le domaine de la cybersécurité du transport ferroviaire. Un premier accord avait déjà été signé entre les deux groupes en avril 2017.

Cet accord « permettra de fournir aux compagnies ferroviaires des solutions alliant l’expérience et les solutions d’Alstom dans le domaine des systèmes d’information dédiés au transport par voie ferrée avec l’expertise et les services d’Airbus CyberSecurity dans le domaine de la cybersécurité des systèmes d’information industriels ». Ceci dans le contexte de l’augmentation des cybermenaces dans tous les secteurs, alors que le secteur ferroviaire fait de plus en plus appel au numérique, que ce soit dans les systèmes de contrôle-commande des trains, métros et tramways, la signalisation ou les postes d’aiguillage et de commande centralisée. Sans oublier les métros automatiques et des projets de trains autonomes.

Airbus CyberSecurity « contribuera aux offres communes avec des services et solutions dans les domaines de la surveillance et détection d’attaques grâce à ses différents centres opérationnels de cybersécurité (SOC – security operations centers) et de la réponse sur incidents. Il offrira également des prestations d’audit de sécurité et des tests de pénétration et d’intrusion notamment grâce à sa plateforme de simulation et de test pour les systèmes industriels, CyberRange ».

Alstom « apportera, au partenariat, ses connaissances en matière de conception, de fabrication, d’exploitation et de maintenance de systèmes ferroviaires. Le leader mondial du rail numérique s’appuiera également sur son expertise unique en matière de cybersécurité ferroviaire développée ces dernières années ». Alstom précise que plus de 13 000 de ses employés travaillent dans le monde sur la numérisation du secteur ferroviaire, notamment dans les domaines de la technologie de signalisation, de la mobilité intelligente et de la cybersécurité.

Ewa

CBTC Alstom pour le Metromover de Miami-Dade

Miami Metromover

Alstom a annoncé avoir été choisi par le département des Transports et des Travaux publics du Comté de Miami-Dade (Floride) pour équiper la navette automatique Metromover d’un CBTC (contrôle des trains basé sur la communication) du type Cityflo 650, qui faisait auparavant partie du portefeuille de Bombardier Transport. Dans le cadre d’un contrat d’environ 140 millions de dollars (près de 120 millions d’euros), Alstom « remplacera également ou rénovera le système de distribution électrique, le système de contrôle et d’acquisition de données (SCADA), les aiguilles des voies de guidage ainsi que d’autres éléments composant le système Metromover ». De plus, Alstom introduira de nouvelles fonctionnalités « qui augmenteront la fiabilité et la disponibilité du système, réduiront les frais de maintenance et permettront une exploitation plus efficace tout en offrant toujours plus de sécurité aux passagers ».

Mis en service en 1986, le Metromover de Miami-Dade, dont les trois boucles totalisent aujourd’hui 7,1 km et desservent 21 stations, a été la première application aux transports urbains des navettes automatiques Westinghouse. En trois décennies et demi, le réseau Metromover a été développé et son parc de matériel roulant sur pneus a été renouvelé entre 2008 et 2014 (il comprend actuellement 29 rames Bombardier Transport Innovia APM 100). « Mais certains des principaux sous-systèmes arrivent en fin de vie », ajoute Alstom, dont le portefeuille comprend les Automated People Mover (APM) Westinghouse depuis la récente reprise de Bombardier Transport.

Ewa

Au Mexique, Alstom signe un important contrat pour le train Maya

Tren'Maya

C’est un projet majeur pour le développement du Mexique : le consortium composé d’Alstom Transport Mexico, Bombardier Transportation México, Gami Ingeniería e instalaciones et Construcciones Urales Procesos Industriales s’est vu attribuer, dans le cadre du projet de train Maya,  le contrat de conception, de fabrication et de mise en service de 42 trains X’trapolis, dont le design s’inspire de la culture Maya, ainsi que l’ensemble du système de signalisation. Il est également chargé de la construction des ateliers et garages de maintenance et du service après-vente des équipements du système.

Le contrat représente quelque 1,3 milliard d’euros. Au sein du consortium, la part d’Alstom-Bombardier s’élève à un milliard d’euros.

Dans le cadre de son Plan national de développement (2019-2024), le gouvernement mexicain a en effet lancé le projet de grande ampleur du Tren Maya, destiné à relier cinq États mexicains (Yucatán, Quintana Roo, Campeche, Tabasco et Chiapas). Cette ligne de plus de 1 500 kilomètres doit faciliter le transport des voyageurs et des marchandises et créer des liens entre les grands centres touristiques et les communautés rurales. Selon ses promoteurs, il doit permettre de favoriser le développement économique et social de cette région. Pour les touristes et les voyageurs, il permettra de découvrir les hauts lieux de la culture Maya.