fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Après l’aérien, le low cost gagne les transports terrestres

Article présent dans le dossier : 10 ans qui ont changé la face des transports

Calqué sur l’aérien, le modèle du low-cost se répand pour les déplacements terrestres longs. Et rend accessible les voyages à une nouvelle clientèle.

L’engouement pour les « cars Macron » en stand-by

Quel avenir économique pour les « cars Macron » ? Dans son étude semestrielle sur les « Services d’autocar librement organisés » (SLO) publiée le 13 octobre 2020, l’Autorité de régulation des transports (ART) constate un effondrement du chiffre d’affaires des opérateurs en France pendant la crise sanitaire. « Au deuxième trimestre, le secteur subit pleinement la période de confinement, enregistrant un chiffre d’affaires inférieur à un million d’euros », calcule l’ART. Au premier trimestre 2020, six opérateurs présents sur le marché français ont encore réalisé entre 23 et 29 millions d’euros de chiffre d’affaires. La chute est vertigineuse.

Cars Macron Flixbus

L’engouement pour les Cars Macrons est retombé.

La recette par passager aux 100 kilomètres n’a jamais dépassé 5,30 euros hors taxes depuis 2015, à l’ouverture de ce marché libéralisé par la « loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques ». Emmanuel Macron, ministre de l’Economie, défendait en 2015 « une offre tarifaire plus attractive » sur les trajets supérieurs à 100 kilomètres face au « quasi-monopole du train et de la SNCF, via les TGV, les TER et les trains Intercités ». En une année, le marché ...

Il vous reste 79% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier 10 ans qui ont changé la face des transports dans le magazine VR&T n°642

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique