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La complexité de l'écosystème NFC 

01 Mar 2016

billettique

Dossiers > Les nouveaux moyens 
de paiement sont-ils fiables ? > La complexité de l'écosystème NFC 

Article présent dans le dossier : Les nouveaux moyens 
de paiement sont-ils fiables ?

C'est un argument recevable : pour être sécurisé, le sans-contact basé sur la norme ISO 14 443 (celle du NFC et de Calypso notamment) fait appel à « une architecture à plusieurs niveaux qui doivent dialoguer entre eux », a rappelé Frédéric Linossier, directeur général d'Actoll lors des Rencontres 2016 de la mobilité intelligente. Pour tout rendre compatible, il faut en effet solliciter : le fabricant du smartphone et le fournisseur de son OS (seul Apple fournit les deux), le fabricant de l'élément sécurisé qui produit la SIM (Gemalto est le numéro 1 mondial), l'opérateur de téléphonie mobile qui est propriétaire de la SIM, le propriétaire de l'appli visée (l'AO ou éventuellement le transporteur), et le fabricant des valideurs. Tous ces éléments, qui constituent l'écosystème, varient souvent dans le temps, continue-t-il. Et il est très difficile de stabiliser l'ensemble de ces éléments afin qu'ils soient tous à niveaux. » Et puisque le constat s'applique aussi dans une certaine mesure à l'écosystème de la télébillettique classique, sur lequel on a une vingtaine d'années de recul, il est facile d'imaginer que cela risque d'être lourd et coûteux à gérer. Les systèmes billettiques fermés limitent en effet la concurrence, seul le fabricant étant à même de les mettre à niveau. De plus, ils rendent la technologie inaccessible aux réseaux de taille moyenne étant donné la lourdeur de l'investissement. Une des raisons pour lesquelles de nouveaux industriels proposent des solutions plus légères, avec un smartphone qui tient lieu de valideur. C'est sans aucun doute aussi une des raisons qui explique la difficulté à faire émerger le NFC sur smartphone… »   C. N.

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Retrouvez le dossier Les nouveaux moyens 
de paiement sont-ils fiables ? dans le magazine VR&T n°585

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