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Stationnement. Les stratégies payantes

01 Sep 2016

Automobile , Infrastructure , Mobilité

Dossiers > Stationnement. Les stratégies payantes

L’arrivée de start-up aux méthodes nouvelles est en train de bouleverser le marché
du stationnement. De leurs côtés, les collectivités qui veulent revoir la place de la voiture
en ville réduisent les places en voirie. Tout cela pousse les exploitants de parkings à repenser leurs modèles.

Le marché du stationnement est soumis à un double mouvement inverse. D’un côté, les villes, qui souhaitent reconquérir leur centre et faciliter l’arrivée de nouvelles solutions de mobilité, ont tendance à supprimer des places en voirie. C’est le cas tout particulièrement de Paris, où le nombre de places de parking est passé de 235 000 en 2001 à 142 000 en 2014. Ou encore de Toulouse, dont le plan de déplacements prévoit progressivement la suppression de plus de 3 500 places en surface.
De l’autre côté, de multiples start-up émergent sur le marché, proposant aux propriétaires de parkings de partager leurs places lorsqu’ils n’en ont pas l’utilité avec d’autres automobilistes. Ce qui conduit à réalimenter le système.
Face à ces nouvelles venues, les acteurs traditionnels que sont tout particulièrement Indigo (ex-Vinci Park) et Effia réagissent depuis plusieurs années. Affichant un intérêt accru pour les parkings partagés, ils se définissent comme des acteurs à part entière de la mobilité. En ce début d’année, Effia, filiale de Keolis, a annoncé un partenariat avec OnePark, spécialiste de la réservation en ligne de parkings, tandis qu’Indigo nouait des accords avec des propriétaires immobiliers pour partager des places de parkings, rachetait les activités d’un loueur de véhicules électriques (Wattmobile) et lançait sa propre plate-forme de services en ligne. « Dans ...

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Retrouvez le dossier Stationnement. Les stratégies payantes dans le magazine VR&T n°591

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