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Grande vitesse et grandes distances

Article présent dans le dossier : Faut-il croire à la relance des Trans Europ Express ?

Même si la situation était déjà loin d’être idéale avant la crise sanitaire actuelle pour qui voulait traverser l’Europe en train, au moins deux groupes de dessertes ferroviaires internationales existaient donc déjà quand le TEE 2.0 a été présenté par le gouvernement allemand. À côté des EuroCity cités plus haut, essentiellement présents entre l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche et leurs voisins de l’est et du sud, s’ajoute le réseau des trains à grande vitesse de l’alliance Railteam, qui, à part les Eurostar vers Londres et les ICE vers Berlin, présente une ressemblance frappante avec le réseau TEE des années 1960, centré sur l’Europe de l’ouest... Avec deux différences fondamentales : les temps de parcours ont nettement été réduits en un plus d’un demi-siècle et les trains d’aujourd’hui ne sont plus réservés aux voyageurs de 1re classe.

TGV ICE

Une correspondance TGV/ICE à Francfort.

Mais ces trains internationaux actuels, même s’ils sont techniquement plus rapides que dans les années 1990, ne permettent pas de traverser l’Europe plus vite qu’alors. En effet, les distances parcourues par les trains actuels dépassent rarement le millier de kilomètres (les exceptions étant généralement les relations entre la moitié nord de la France et le bassin méditerranéen). Résultat : le bénéfice de la grande vitesse n’est pas si évident pour qui ...

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Retrouvez le dossier Faut-il croire à la relance des Trans Europ Express ? dans le magazine VR&T n°645

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