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Du TEE à l’EuroCity

Article présent dans le dossier : Faut-il croire à la relance des Trans Europ Express ?

De 1957 au début des années 1990, l’appellation TEE était donnée à une sélection de trains rapides de 1re classe à supplément qui assuraient de longs parcours à travers l’ouest de l’Europe continentale avec un haut niveau de service (restauration, possibilité de travailler à bord…) Des parcours de jour, toujours, et internationaux le plus souvent, comme l’Etoile du Nord (Paris ­– Bruxelles – Amsterdam), l’Arbalète (Paris – Zurich) ou le Cisalpin (Paris – Lausanne – Milan) pour ne citer que quelques exemples de parcours effectués pour partie en France. Mais certains ne franchissaient jamais de frontière, tels les trains d’affaires SNCF les plus prestigieux : Capitole (Paris – Limoges – Toulouse), Aquitaine (Paris – Bordeaux), Kléber (Paris – Nancy – Strasbourg) ou Rhodanien (Paris – Marseille)…

La concurrence de l’avion pour les marchés d’affaires, puis la démocratisation des trains internationaux et l’arrivée des TGV ont abouti à la disparition des TEE par vagues successives, surtout à partir de 1979. Pour autant, l’idée européenne n’était pas abandonnée : en 1987 est née l’appellation EuroCity (EC), dont les trains de 1re et 2e classe ont rapidement repris les dessertes assurées par la plupart des TEE internationaux qui restaient.

Au service d’hiver 2019-2020, quelque 80 de ces dessertes EC étaient toujours assurées. Mais du fait de la quasi-disparition des trains classiques internationaux en France (un des derniers étant le Vauban, Bruxelles – Luxembourg – Strasbourg – Bâle) au profit des trains à grande vitesse, les EC y ont disparu ; en revanche, ils se sont développés dans les pays situés à l’est du Rideau de fer avant 1989.

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Retrouvez le dossier Faut-il croire à la relance des Trans Europ Express ? dans le magazine VR&T n°645

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