fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Comment ils voient l’avenir du véhicule autonome

05 Avr 2018

Dossiers > Comment ils voient l’avenir du véhicule autonome

Alors que le véhicule autonome s’invite de plus en plus dans le débat sur les transports de demain, nous avons souhaité interroger des responsables d’entreprises parties prenantes du développement de ces véhicules. Et leur demander de nous livrer leur vision de ce mode de transport dont tout le monde semble tant attendre.

 

Le 18 mars, à Tempe, dans l’Arizona, une femme a été mortellement blessée par un véhicule autonome d’Uber. Uber a aussitôt suspendu ses essais. Toyota aussi. L’accident ne devrait pas arrêter la marche du véhicule autonome. Mais il vient rappeler qu’il n’est pas prêt. Et qu’il ne sera accepté que s’il est sûr à 100 %.

Pour l’instant, ce sont les débuts. En France, près d’une cinquantaine d’expérimentations de véhicules autonomes ont été autorisées sur la voie publique. Tout compris, du véhicule personnel à la navette. C’est modeste, mais c’est médiatisé. Il ne faut pas être à la traîne dans la course à l’innovation et, dans le transport public, les grands opérateurs et les autorités organisatrices ne manquent pas de le faire savoir lorsqu’ils expérimentent de nouveaux services. Comme Keolis avec Navya à Lyon Confluence ou à la Défense, la RATP avec EasyMile sur le pont parisien Charles-de-Gaulle, près du château de Vincennes ou au CEA de Saclay, ou encore Transdev avec Navya à la centrale nucléaire de Civaux, avec EasyMile dans le parc d’affaires de Rungis… Même si l’on ajoute que certaines expériences ont lieu sur route ouverte, ou si l’on tient compte du robot-taxi de Transdev et Renault à Rouen, la ...

Il vous reste 83% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Comment ils voient l’avenir du véhicule autonome dans le magazine VR&T n°610

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique