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Henri Poupart-Lafarge, PDG d’Alstom : « Il va falloir trouver d’autres routes »

07 Mar 2019

Dossiers > Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers > Henri Poupart-Lafarge, PDG d’Alstom : « Il va falloir trouver d’autres routes »

Article présent dans le dossier : Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers

Henru Poupart-Lafarge.

« Il n’y a pas de plan B », avait averti Henri Poupart-Lafarge. Et c’est la position qu’il réitère à la suite du veto de la Commission à la fusion avec Siemens Mobility. Une décision face à laquelle le patron d’Alstom, s’adressant à quelques journalistes, fait part de son « incompréhension », jugeant que la Commission dans son analyse de la concurrence « s’est arc-boutée dans une analyse court-termiste ». Aujourd’hui que la décision est tombée, il ne voit pas de « nécessité de replonger dans un projet tel que celui-ci ». Le carnet de commandes d’Alstom est bien rempli (quasiment 40 milliards d’euros), le bilan est bon (six milliards de ventes sur les trois premiers trimestres et huit en vue), Alstom est fort aussi de la cession de ses participations dans trois filiales de GE, et « les équipes sont aujourd’hui largement occupées à délivrer le carnet de commandes ». Henri Poupart-Lafarge se dit heureux de pouvoir consacrer à nouveau tout son temps à l’opérationnel.

S’il n’est, dit-il, « pas du style à me morfondre », et si Alstom est loin d’être aux abois, le ton n’est pas guilleret. Le projet de fusion avec Siemens Mobility, dans lequel le patron d’Alstom s’est investi « pendant près de deux ans », ...

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Retrouvez le dossier Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers dans le magazine VR&T n°621

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