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La Commission européenne sûre d’être dans son bon droit

07 Mar 2019

Dossiers > Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers > La Commission européenne sûre d’être dans son bon droit

Article présent dans le dossier : Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers

Margrethe Vestager, commissaire à la Concurrence.

La décision de la Commission européenne d’interdire la fusion Alstom-Siemens s’est attiré une levée de boucliers. On a accusé la Commission d’avoir une vue court-termiste et une compréhension étroite de la concurrence. Les critiques sont quasi unanimes en Allemagne, largement majoritaires en France. Dans les autres pays de l’Union on comprend beaucoup mieux la décision de Bruxelles.

La Commission ne manque d’ailleurs pas d’arguments. Le plus fort ? Elle applique le droit. Elle a pour mission de s’assurer qu’une entité ne peut acquérir de position dominante sur le marché intérieur par une acquisition. On peut devenir dominant par ses propres mérites. Mais, si on le devient par acquisition ou fusion, il faut concéder des contreparties.

A l’issue de son enquête, la Commission a estimé qu’environ 80 % de l’activité cumulée d’Alstom et Siemens ne posait aucun problème. Comme on sait, c’est dans deux domaines que le bât blessait. Les trains à très grande vitesse (au-delà de 300 km/h) et la signalisation. Seuls Siemens et Alstom vendent des trains à très grande vitesse dans l’UE. Il en va de même en dehors de l’UE, du moins sur les marchés accessibles. Exception faite donc des réseaux chinois, japonais et coréens, qui ne le sont pas. La position dominante du nouvel ensemble était encore plus flagrante dans la signalisation.

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Retrouvez le dossier Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers dans le magazine VR&T n°621

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