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Quand la Chine confondait vitesse et précipitation

07 Mar 2019

Dossiers > Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers > Quand la Chine confondait vitesse et précipitation

Article présent dans le dossier : Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers

Un entretien avec Jean-François Doulet

Au lendemain de l’accident de Wenzhou de juillet 2011 nous avions publié un entretien avec Jean-François Doulet, à la fois spécialiste de la Chine et des questions de mobilités, auteur de Géopolitique du TGV Chinois (éditions La Vie du Rail). Nous tentions de prendre alors la mesure de l’impact de l’accident sur les ambitions chinoises, à la fois sur le programme de ligne à grande vitesse et sur la volonté de présence sur les marchés mondiaux. Précisions : Xi Jin Ping n’accédera au pouvoir qu’un an plus tard. Et CRRC ne naîtra qu’en 2015. L’ouverture et les partenariats semblaient alors possibles et nécessaires. Ce n’est plus vraiment dans la ligne du pouvoir. La lecture de l’entretien reste cependant très instructive. Nous en republions la dernière partie.

 

Ville, Rail & Transports. Les Européens voyaient une menace chinoise se préciser sur les marchés ferroviaires mondiaux, de l’Arabie saoudite au Brésil ou aux Etats-Unis. Va-t-on voir les Chinois faire profil bas ? Va-t-on plutôt vers un changement de stratégie, ou plus simplement vers une pause ?

Jean-François Doulet. L’accident du 23 juillet est une accélération d’un phénomène qui lui est antérieur et qui a un an. Quand les Chinois ont dû se retirer du projet de grande vitesse en Arabie saoudite l’année dernière, ils se sont rendu compte qu’ils ...

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Retrouvez le dossier Siemens-Alstom. Les leçons d’un revers dans le magazine VR&T n°621

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