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Gilles Savary : « Le rapport Duron ? Un rapport de rupture »

08 Mar 2018

Dossiers > SNCF. Après le rapport, les ordonnances > Gilles Savary : « Le rapport Duron ? Un rapport de rupture »

Article présent dans le dossier : SNCF. Après le rapport, les ordonnances

Gilles Savary.

Gilles Savary, ancien député, consultant, président de l’atelier « Mobilités plus sûres » des Assises de la mobilité, répond aux questions de VR&T à la suite de la publication du rapport « Mobilités du quotidien » du Conseil national des infrastructures, présidé par Philippe Duron. Ville, Rail & Transports. Comment recevez-vous le rapport Duron ? Gilles Savary. C’est un changement de doctrine assez clair, assez net, à bien des égards. C’est un rapport de rupture très intéressant. VR&T. De rupture, à quels égards ? G. S. C’est la première fois depuis les années 90 qu’on dit qu’il ne faut pas attendre de miracle de la politique de report modal. Jusqu’à présent nous avions des idées assez simples, inspirées des écologistes : il faut basculer les trafics sur le rail. Après plus de vingt ans d’efforts, partout en Europe, on s’aperçoit qu’on n’a pratiquement pas fait bouger, ou alors de façon extrêmement marginale, le pourcentage de voyageurs ou de marchandises transportés par rail, par rapport à la route, ou à l’aérien ou à la mer. On n’a pas réussi cette politique très coûteuse, qui repose sur des investissements géants et des subventions massives en faveur du rail, et sur la fiscalisation de la route, même si certains considèrent qu’elle n’est pas suffisante. C’est la première rupture doctrinale. VR&T. D’autres ruptures ? G. S.  ...

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Retrouvez le dossier SNCF. Après le rapport, les ordonnances dans le magazine VR&T n°609

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