« En back-office, les métiers évoluent et nécessitent des expertises pointues »
04 Fév 2022
ecole , Formation , recrutement , transport , université
Dossiers > Spécial écoles et filières. Les nouvelles formations et leurs débouchés > « En back-office, les métiers évoluent et nécessitent des expertises pointues »
Article présent dans le dossier : Spécial écoles et filières. Les nouvelles formations et leurs débouchés
Sommaire
- Spécial écoles et filières. Les nouvelles formations et leurs débouchés
- Les partenariats écoles-entreprises prennent « chaires »
- Les nouveaux projets de l’Estaca
- Le master de l’université de Bourgogne élargit sa palette
- L’Ecole des Ponts lance un nouveau master
- « En back-office, les métiers évoluent et nécessitent des expertises pointues »
- Les grandes écoles plébiscitent l’alternance
- « Les profils tendent à se diversifier, avec des étudiants en quête de sens »
- Le mastère spécialisé Smart Mobility de Télécom Paris
- Une chaire sur les nouvelles mobilités et leur modélisation
- L'annuaire des écoles
Tandis que dans le ferroviaire, le niveau de formation demandé augmente, dans l’urbain, on cherche à anticiper le manque de conducteurs et à faire face à la révolution à venir de la motorisation. Interview de Mathieu Dufour, directeur du département des Affaires sociales et de la Sûreté de l’UTP.
Ville, Rail & Transports. Mesurez-vous l’impact de la crise sanitaire sur la formation dans vos deux branches, le ferroviaire et le transport urbain ?
Mathieu Dufour. 2020 s’est traduit par une forte décrue en matière de formation. Dans le transport urbain par exemple, l’alternance a marqué le pas, avec un engagement de quatre millions d’euros, contre 7,2 millions à la mi-décembre 2021. Cependant, les contrats signés avant la crise n’ont majoritairement pas été rompus car nos entreprises sont socialement responsables. En matière d’alternance, des marges de progression sont envisageables en 2022. La Dares (direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques du ministère du travail) chiffre la part des apprentis à 2 % des effectifs du transport ferroviaire, pas loin de la moyenne nationale qui est de 2,4 %, alors qu’elle est inférieure à 1 % dans le transport public.
VRT. Quid de la période Pro-A (Promotion par alternance) qui remplace le contrat de professionnalisation ?
M. D. Un accord a été trouvé dans le ...
Il vous reste 77% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.
Retrouvez le dossier Spécial écoles et filières. Les nouvelles formations et leurs débouchés dans le magazine VR&T n°656
