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Feuilles mortes : les autres dispositifs antifeuilles

Mis à jour le 23 mai 2017

Comme le rappelle Bénédicte Tilloy, directrice du Transilien SNCF, « Tous les systèmes ferroviaires galèrent avec les feuilles, tout le monde cherche des solutions On en trouve, mais rien de miraculeux. On essaye d’améliorer chaque année » Comme le rappelle Bénédicte Tilloy, directrice du Transilien SNCF, « Tous les systèmes ferroviaires galèrent avec les feuilles, tout le monde cherche des solutions On en trouve, mais rien de miraculeux. On essaye d’améliorer chaque année… » Et en plus d’un siècle et demi, sur tous les réseaux du monde, l’expérience a permis de trouver des solutions palliatives.
Avant l’automne, les conducteurs reçoivent une formation spécifique sur les conditions de conduite en automne. « Sur le terrain, il faut anticiper les arrêts, éviter de rouler à la vitesse limite pour freiner moins fort », précise un habitué de la ligne N. Cette dernière figure en bonne place sur la carte des zones « à feuilles », remise à jour chaque année, tout comme les prescriptions de freinage sur ces zones. Et au jour le jour, « dès la prise de service, on se renseigne sur la météo », alors que sont communiquées les zones sur lesquelles l’adhérence est dégradée.
Sur ces zones, des interventions sont effectuées : des trains laveurs passent un jet d’eau à haute pression et brossent les rails au petit matin, alors que le wagon-aspirateur enlève les feuilles. Mais il n’est pas interdit de travailler à la source : SNCF Infra élague et débroussaille régulièrement les alentours des voies. D’autres solutions ont été essayées sur le RER C, la plus spectaculaire étant l’installation de filets le long des voies sur un tronçon entre Versailles-Chantiers et la vallée de la Bièvre. Une solution efficace, mais chère : 700 000 euros par kilomètre rien que pour l’installation !
Nos voisins européens ont également trouvé des solutions pour pallier à ces difficultés (voir les articles suivants sur Bruxelles et la Grande-Bretagne). En Allemagne, la DB annonce chaque automne pendant la période critique le rallongement des temps de parcours en raison de l’adaptation des modes de conduite et de freinage. Quant aux Pays-Bas, ce sont 1 200 voitures qui vont être équipées d’antienrayeurs.

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