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Ewa

Le prochain congrès UIC de la grande vitesse ferroviaire se tiendra à Pékin

grande vitesse chine nanjing–hangzhou

L’Union internationale des chemins de fer (UIC) et les chemins de fer chinois (China Railway, CR) ont annoncé conjointement que la douzième édition du Congrès mondial UIC de la grande vitesse ferroviaire se déroulerait du 8 au 11 juillet 2025 à Pékin, sur deux sites : le China National Convention Center (CNCC) et le National Railway Test Center (NRTC). Ce congrès est organisé conjointement par l’UIC et le CR, « en coopération avec toutes les parties prenantes de la grande vitesse ferroviaire à travers le monde ».

Ce congrès revient donc à Pékin, 15 ans après y avoir été organisé pour la première fois… et cinq ans après la date initialement prévue pour l’édition 2020, repoussée à 2022 et finalement reportée à 2023 pour se tenir au Maroc, à Marrakech.

Le thème de l’édition 2025 est intitulé : « La grande vitesse ferroviaire : innovation et développement pour une vie meilleure », soulignant ainsi que « la grande vitesse ferroviaire en Chine et dans le monde a évolué pour passer de l’exception à la norme ».

Ewa

L’intérêt stratégique du futur système de communication mobile pour les chemins de fer 

UIC
FRMCS
François Davenne

« Ce n’est pas si souvent que l’on voit cette salle aussi pleine », a déclaré François Davenne, DG de l’UIC, en ouvrant la deuxième édition de la conférence mondiale FRMCS. Cette manifestation, qui s’est tenue les 7 et 8 juin dans la plus grande salle du siège parisien de l’Union internationale des Chemins de fer, a en effet accueilli quelque 300 participants des secteurs ferroviaire et télécom, venus de 30 pays pour faire le point sur les développements les plus récents du FRMCS. Cet acronyme – pour Future Railway Mobile Communication System, soit « futur système de communication mobile pour les chemins de fer » – sera sans doute prononcé de plus en plus souvent au cours des prochaines années, au fur et à mesure de l’obsolescence du standard actuel de communication GSM-R, développé il y a un quart de siècle par l’UIC. Or, ce standard joue un rôle vital dans le fonctionnement du système de sécurité ERTMS, en cours de déploiement sur les réseaux ferrés européens.

Car s’il est techniquement réussi et s’avère être un succès mondial, avec 210 000 km de lignes équipées, dont 150 000 km en Europe, le GSM-R n’en reste pas moins un système de deuxième génération. A l’heure de la 5G et de la multiplication des applications numériques ferroviaires, qui nécessitent de gérer d’importants flux de données, un changement s’imposera au cours de la prochaine décennie. D’où le développement d’un nouveau système, plus modulaire que l’actuel afin d’être non seulement conçu pour le 5G, mais aussi compatible avec les systèmes futurs.

Pour l’instant, le programme est à l’heure : la version V1 a été définie et les premiers essais sont attendus cette année. La mise en service des premiers tronçons équipés FRMCS est attendue pour 2026, alors que la migration devrait s’étaler jusqu’en 2035. A condition que les financements suivent, de même que les fournisseurs ! Sans oublier la politique : le passage du GSM-R au FRMCS ne doit pas entraîner de fractionnement à l’échelle des réseaux ferrés nationaux. C’est pourquoi le nouveau système est, comme le GSM-R, destiné à devenir un standard mondial, qui puisse garantir l’interopérabilité entre réseaux voisins. A cette fin, deux fréquences ont déjà pu être réservées pour le FRMCS en Europe, mais il faut espérer que ce soit également le cas dans le monde entier…

P. L.

Ewa

Le 11e congrès UIC de la grande vitesse se tiendra en mars prochain au Maroc

maroc

Nouvelle date et nouveau lieu pour la onzième édition du Congrès Mondial UIC de la Grande Vitesse Ferroviaire. Le rendez-vous international se tiendra du 7 au 10 mars 2023 au Maroc, plus précisément au Palais des Congrès de Marrakech, sous l’égide de l’UIC et de l’ONCF. Un site internet a d’ores et déjà été mis en ligne : www.uichighspeed.org.

Cette édition du congrès UIC Highspeed sera la première à se tenir en Afrique, mais pas la première dans l’espace Moyen-Orient et Afrique du Nord, après une édition 2018 à Ankara, en Turquie. Avec pour thème « La Grande Vitesse Ferroviaire : la bonne vitesse pour notre planète », ce congrès « met l’accent sur la contribution du chemin de fer à la résolution des problèmes climatiques et à son rôle dans l’aménagement du territoire ». Le programme des trois journées comprendra des séances de travail, un salon professionnel et des visites techniques. Une invitation pour soumission d’articles à présenter lors du congrès est lancée auprès des chercheurs, universitaires, étudiants et experts ferroviaires.

Plus de 1 500 participants sont attendus pour cette onzième édition : décideurs politiques, autorités responsables des transports, entreprises ferroviaires et acteurs-clés de l’intermodalité, gestionnaires d’infrastructure, industriels, institutions financières, clients, instituts d’études et de recherche, universités, etc.

Ewa

L’UIC pointe l’importance stratégique du rail et « suspend » les chemins de fer russes et biélorusses

uic logo

La nouvelle a été rendue publique par l’Union internationale des chemins de fer le 8 mars : « Afin de poursuivre une collaboration constructive et technique en toute confiance entre nos membres, l’UIC a suspendu les entreprises membres de la Fédération de Russie et de la République du Bélarus actuellement soumises à des sanctions internationales, jusqu’au retour d’une situation pacifique en Ukraine ». Et l’UIC d’exprimer également son « plus ferme soutien » aux chemins de fer ukrainiens (UZ), qui « continuent à fonctionner dans des conditions extrêmement difficiles, ce qui démontre que les chemins de fer peuvent et doivent rester un mode de transport prioritaire pour les personnes, y compris l’aide humanitaire et l’évacuation des réfugiés ».

L’UIC met en valeur « les efforts importants d’un grand nombre d’autres entreprises ferroviaires, qu’elles soient voisines de l’Ukraine ou transportent des civils ukrainiens vers des lieux sûrs loin de la ligne de front ». « La solidarité de toutes ces entreprises membres de l’UIC est vraiment impressionnante », ajoute cette dernière, qui « applique pleinement toutes les sanctions conformément au droit national et international ».

Afin d’apporter une aide coordonnée aux réfugiés, l’UIC a mis en place une task force pour les réfugiés. Placé sous la responsabilité de Marc Guigon, directeur du département Voyageurs de l’UIC, ce groupe de travail échangera son savoir-faire et identifiera des idées pour gérer les flux migratoires, faire circuler les informations destinées aux réfugiés, ainsi qu’entre les entreprises ferroviaires pour accueillir les réfugiés dans les gares, et fournir des solutions pour préserver la sécurité.

Quatre jours auparavant, la Communauté européenne du Rail (CER) avait déjà exprimé sa « pleine solidarité avec l’Ukraine et son peuple », en participant, ainsi que ses membres, aux efforts humanitaires à l’échelle de l’Union européenne pour soutenir les réfugiés ukrainiens. A l’occasion, les membres et partenaires de la CER (qui ne comprennent pas les chemins de fer russes et biélorusses) s’étaient engagés à « respecter toutes les sanctions applicables à l’encontre de la Fédération de Russie et de la République du Bélarus ».

P. L.

Ewa

Les heurts de personnes sur les voies, première cause d’accidents ferroviaires

accidents ferroviaires

Moins 8 %. C’est le recul du trafic ferroviaire mondial de voyageurs durant l’année 2020, selon l’Union internationale des chemins de fer qui a publié le 16 novembre son rapport annuel sur les accidents ferroviaires au niveau international. D’où également une diminution du nombre des accidents sur la majeure partie de l’année, avec une forte baisse en avril 2020 suivie d’une remontée progressive jusqu’à septembre, puis d’un rééquilibrage sur le dernier trimestre. « Le nombre d’accidents de personnes heurtées par un train a baissé de 34 % aux passages à niveau et de 12 % hors passages à niveau. Les autres types d’accidents sont demeurés au niveau de 2019 », écrit l’UIC, en précisant que « sur l’ensemble de l’année et sur le périmètre de 2019, la baisse globale du nombre d’accidents s’établit à -11 % (3 742 accidents en 2020 contre 4 187 accidents en 2019) ».

En tête des causes d’accidents, et malgré les campagnes de prévention lancées par les compagnies ferroviaires, les heurts de personnes par un train (hors passages à niveau, PN) représentent 76 % des accidents ferroviaires. Il faut ajouter 9 % de collisions intervenant sur des PN, et encore 4 % de heurts impliquant des véhicules routiers aux PN. 90% des accidents impliquent donc des tiers qui ne sont pas dans le système ferroviaire, souligne l’UIC, appelant les pouvoirs publics à sanctuariser les voies ferroviaires. Le nombre d’accidents de personnes heurtées par un train a toutefois baissé de 34 % aux passages à niveau et de 12 % hors passages à niveau. Les autres types d’accidents sont demeurés au niveau de 2019. Globalement, l’indice de sécurité mesuré annuellement par l’UIC continue de décroître « indiquant une amélioration pérenne du niveau de sécurité du transport ferroviaire », note l’organisation.

Ewa

Le patron des chemins de fer polonais prend la présidence de l’UIC

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Le mandat de Gianluigi Castelli (FS, chemins de fer italiens) à la tête de l’Union internationale des chemins de fer (UIC) touchant à sa fin, c’est Krzysztof Mamiński, le PDG des chemins de fer polonais, qui a été désigné pour lui succéder, lors d’une assemblée générale les 7 et 8 juillet. De son côté, Mohamed Khlie, le patron des chemins de fer marocains prend la vice-présidence et succéde à Ali Uygun (chemins de fer de l’Etat turc). Tous deux rempliront ces fonctions jusqu’au 31 décembre 2023.

Ewa

Coronavirus- Un guide des bonnes pratiques pour les entreprises ferroviaires du monde entier

document de l'UIC des bonnes pratiques

Organe de coopération au niveau mondial, l’Union internationale des Chemins de Fer (UIC) ne s’intéresse pas qu’aux questions de technique ferroviaire. En particulier, dans le contexte actuel de l’épidémie mondiale de Coronavirus, les membres et partenaires de l’UIC échangent régulièrement des informations sur la situation et sur les mesures ou procédures préventives mises en œuvre, conscients que le transport ferroviaire contribue bien malgré lui à la propagation de la maladie.

C’est dans ce cadre que l’UIC a mis en place sa Task Force Covid-19, qui a tenu sa réunion de lancement par visioconférence dès le 5 mars. Depuis, les membres et organisations partenaires de l’UIC ont transmis des informations jugées pertinentes, qui se sont matérialisées par la publication d’un document UIC intitulé « Gestion du Covid-19 : Guide pour les acteurs ferroviaires, un ensemble de mesures possibles ».

L’UIC précise que les contributions reçues proviennent de pays aussi divers que l’Allemagne, l’Autriche, la Bulgarie, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, le Danemark, l’Espagne, les Etats-Unis, la France, la Hongrie, l’Iran, Israël, l’Italie, le Japon, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la Slovaquie ou la Slovénie.

Destiné à être actualisé pendant toute la durée de la crise sanitaire, le document peut être téléchargé (en version anglaise) sur le site de l’UIC (ici).

P. L.

Ewa

François Davenne nouveau directeur général de l’UIC

Mr François Davenne, Deputy Director General of UIC (01/2019-06/2019).

Lors de son assemblée générale qui s’est tenue le 25 juin à Budapest, l’Union internationale des chemins de fer (UIC) a nommé François Davenne au poste de directeur général. Cet énarque, également diplômé de l’Ecole nationale supérieure des télécommunications d’Evry, a notamment travaillé au ministère des Transports sur la sécurité et la réglementation ferroviaires. Il a été élu en 2012 secrétaire général de l’Otif, organisation intergouvernementale pour les transports internationaux par fer, au sein de laquelle il a promu l’interdisciplinarité et la construction de partenariats pour développer l’application de règles uniformes applicables au rail à l’échelle internationale.

François Davenne était depuis janvier dernier l’adjoint de Jean-Pierre Loubinoux, qui a dirigé l’organisation pendant plus de dix ans. Sa nomination prendra effet le 1er juillet pour un mandat de quatre ans.