fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

 L’avenir de Belfort selon Alain Vidalies

03 Oct 2016

Alstom , constructeur , Social , Stratégie

Dossiers > Alstom. Les dessous d’une affaire d’Etat >  L’avenir de Belfort selon Alain Vidalies

Article présent dans le dossier : Alstom. Les dessous d’une affaire d’Etat

« Il y a du travail à Belfort jusqu’à la fin 2018 », a rappelé le secrétaire d’Etat aux Transports devant la presse, le 13 septembre. Puis, selon lui, il y a « de bonnes perspectives à partir de 2022, date de la production du TGV du futur, pour lequel on peut penser qu’Alstom pourrait être le fabricant. Mais entre les deux, nous avons un trou d’air. » Comment maintenir l’activité de Belfort ? Pour le secrétaire d’Etat, « Il y a actuellement des négociations directes entre la SNCF et Alstom qui portent sur l’achat de six rames pour la liaison Paris – Turin – Milan. S’ils parviennent à un accord, cela se traduirait par au moins dix mois d’activité pour le site. On arriverait alors à fin 2019. L’enveloppe serait d’environ 100 millions d’euros. » Le second dossier serait « l’appel d’offres annoncé par la RATP pour des locotracteurs pour réaliser des chantiers. 12 engins sont concernés. Ce n’est pas très important mais cela permet de tenir au moins trois ou quatre mois. Le résultat sera annoncé au cours d’un conseil d’administration de la RATP courant novembre. Deux concurrents sont en lice, dont Alstom ». Quant à l’appel d’offres sur le RER NG, examiné par le Stif, qui concerne « jusqu’à 274 rames », selon le secrétaire d’Etat, « nous en sommes à la phase d’examen. Deux concurrents ont répondu, ce n’est pas un secret. Cela ne concerne pas directement la production de Belfort, mais que Belfort se voit potentiellement confier de l’ingénierie, ne me paraît pas impossible à imaginer. » Enfin, dit Alain Vidalies, « Je vais lancer un autre appel d’offres à la fin de l’année : il porte sur les lignes ...

Il vous reste 86% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Alstom. Les dessous d’une affaire d’Etat dans le magazine VR&T n°592

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique