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« L’électromobilité a le vent en poupe »

06 Fév 2017

bus , Ecomobilité , Electrique

Dossiers > Bus électrique : pourquoi tout le monde s’y met > « L’électromobilité a le vent en poupe »

Article présent dans le dossier : Bus électrique : pourquoi tout le monde s’y met

Entretien avec Marie-Claude Dupuis, directrice du département Matériel roulant bus de la RATP.
 

 

VR&T. Les premières expériences de bus électriques standard à la RATP ont commencé l’an dernier à la RATP. Quels enseignements en tirez-vous ?
Marie-Claude Dupuis.
Il est un peu tôt pour parler vraiment de retour d’expérience, mais nous avons quelques enseignements. Nous sommes dans une phase d’expérimentation importante, qui a démarré en 2015 et se poursuit en 2017. Elle s’inscrit dans le cadre du plan Bus2025, au terme duquel 80 % du parc sera électrique et 20 % au bioGNV.
Pour les bus électriques, nous avons choisi comme modèle de référence la charge de nuit au dépôt. C’est dû à notre environnement urbain dense. Ce modèle ne serait pas forcément le meilleur pour des BHNS en grande couronne. J’ajoute que sur nos lignes, nous roulons à petite vitesse, donc l’autonomie nécessaire est relativement faible mais nous roulons beaucoup, ce qui permet de rentabiliser l’investissement dans le véhicule électrique. Quoi qu’il en soit, dans ce modèle, l’enjeu technique majeur est l’autonomie des bus.
Ainsi, le premier appel d’offres que nous avons lancé et qui a été remporté par Bluebus (filiale du Groupe Bolloré) avec le Bluebus 12 m spécifiait une autonomie minimale de 120 km par jour sans recharge intermédiaire et 180 ...

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Retrouvez le dossier Bus électrique : pourquoi tout le monde s’y met dans le magazine VR&T n°596

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