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Les questions qui se posent (y compris celles qui fâchent)

13 Sep 2017

Dossiers > Assises de la mobilité. Le grand débat > Les questions qui se posent (y compris celles qui fâchent)

Article présent dans le dossier : Assises de la mobilité. Le grand débat

Comment ne pas laisser 40 % des Français au bord du chemin ?

40 % des Français vivent en dehors des PTU (périmètres de transport urbain) et n’ont pas d’autre solution pour se déplacer que la possession d’un ou de plusieurs véhicules. Elisabeth Borne en fait le leitmotiv de ses interventions, et l’un des grands axes de sa politique va être de proposer de vrais services à ces Français qui risquent « l’assignation à résidence », comme l’a dit à Rennes Emmanuel Macron. On pense bien sûr aux populations rurales. Ce n’est peut-être pas la question cruciale. Quand on demande à Gilles Savary, ancien député PS, spécialiste des transports, quel est à ses yeux l’enjeu prioritaire des Assises de la mobilité, il répond : « S’attaquer à la complexité des déplacements domicile - travail en grande périphérie ». Et précise : « C’est un enjeu considérable, puisque des millions de gens vivent en dehors des agglomérations. Quasiment expulsés par les prix des logements, ils sont incités à aller de plus en plus loin, et doivent effectuer des trajets quotidiens qui ne sont aujourd’hui pas véritablement gérés par la SNCF ou par les régions. » Il y a tout un travail d’adaptation à faire, poursuit-il. Par exemple, « Transformer les lignes d’accès en vrais trains de banlieues, ce qui suppose de supprimer les passages à niveau. Rabattre vers ces lignes le transport routier, cars ou covoiturage. On peut aussi penser à mettre en place une approche tarifaire modulée selon qu’on circule dans une voiture pleine ou une voiture vide ».

Ces ...

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Retrouvez le dossier Assises de la mobilité. Le grand débat dans le magazine VR&T n°603

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