fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

«La diabolisation frappant la route est allée trop loin»

13 Sep 2017

Dossiers > Assises de la mobilité. Le grand débat > «La diabolisation frappant la route est allée trop loin»

Article présent dans le dossier : Assises de la mobilité. Le grand débat

Entretien avec Mathieu Flonneau, historien

Maître de conférences à la Sorbonne, spécialiste d’histoire urbaine et de la mobilité, Mathieu Flonneau explique pourquoi la route est en train de faire un retour en force. Perçue a priori comme coupable et polluante, elle offre une autonomie inégalée et a un grand rôle à jouer, notamment pour réduire la fracture sociale, estime ce défenseur de la route qui appelle au pragmatisme.

Ville, Rail & Transports. Véhicules autonomes, cars Macron, covoiturage… Le mode routier fait un retour. Vous êtes historien des mobilités et de l’automobilisme, et particulièrement de ce que vous appelez l’écosystème routier. Percevez-vous ce retour ?

Mathieu Flonneau. Oui. Par une forme de ruse de l’histoire, The road is back ! Et précisons bien d’emblée, la route entendue comme infrastructure, pas réduite à un mode. Je constate comme d’autres analystes, en comparant à la période des Trente Glorieuses par exemple, les intermittences d’un demi-siècle d’amour-haine envers l’automobile( 1). Dans un nouveau contexte, l’environnementalisme évidemment, mais plus encore une écologie politique sélective dans ces accusations, ont depuis plusieurs décennies invalidé le mode routier en négligeant ses ressorts réels. On en comprend les raisons, mais cette position, extrêmement réductrice, ne tient pas compte d’une bonne part de la réalité, éventuellement rugueuse, ou de la soutenabilité sociales des usages, tant en termes de fret qu’en termes de transport de personnes. Avant la dernière campagne électorale présidentielle, se sont tenus au Sénat des états géné...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Assises de la mobilité. Le grand débat dans le magazine VR&T n°603

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique