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Enquête visant la RATP sur la qualité de l’air dans les stations de métro

Les frottements provoqués au moment du freinage émettent des particules fines, remises en suspension dans l’air au passage des rames.

© RATP

Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire en février visant la RATP après une plainte déposée par l’association Respire en mars 2021, accusant la Régie de « tromperie et blessures involontaires » en raison d’une qualité de l’air dégradée dans l’enceinte du métro, a indiqué l’association le 5 avril.

En cause, les particules fines (PM1, PM2,5 et PM10) émises à cause des frottements provoqués au moment du freinage des rames de métro, et  qui sont régulièrement remises en suspension dans l’air au passage des rames.

« Il est temps de lever la loi du silence et que la RATP dise la vérité aux usagers », a déclaré Tony Renucci, directeur général de Respire, cité dans un communiqué de l’association qui accuse la RATP de dissimuler à ses usagers le niveau des pollution de l’air dans ses espaces sous-terrain et espère qu’elle « fera enfin le nécessaire » pour s’attaquer au problème.

La Régie assure déployer « du freinage électrique sur tous les nouveaux matériels. En 2022, trois ventilateurs ont été renforcés sur le réseau de métro » sur les lignes 9 et 2, affirme le transporteur. Qui expérimente aussi des garnitures des freins moins polluantes, appelées « Green Friction », développées par l’entreprise Wabtec, pour réduire les microparticules émises lors du freinage par friction. Les résultats des tests sur les bancs d’essais sont positifs, affirmait en novembre 2022 Wabtec qui dit constater jusqu’à 90 % de réduction pour les PM10, jusqu’à 85 % pour les PM2,5 et jusqu’à 60% de réduction pour les PM1.

De son côté, l’association Respire dit s’être basée sur deux rapports réalisés par ses soins en 2019 et 2021 pour appuyer sa plainte, dont il ressort que l’air dans le métro et le RER parisien est « nettement plus pollué en particules fines » qu’à l’extérieur.

En juin, l’Anses (l’Agence nationale de sécurité sanitaire) avait observé que l’air était en moyennes trois fois plus chargé en particules fines dans les stations qu’en surface, bien au-delà des seuils fixés par l’OMS. Elle avait à l’époque effectué une série de recommandations afin de renforcer les actions pour améliorer la qualité de l’air dans les stations de métro et RER et mieux la mesurer.

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