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4e paquet ferroviaire : les organismes de certification ne sont pas satisfaits

07 Fév 2013

Mis à jour le 23 mai 2017

Les organismes nationaux de sécurité ferroviaire ne sont pas satisfaits des propositions de la Commission européenne relatives au 4e paquet ferroviaire. C’est du moins ce qu’a expliqué Denis Huneau, le directeur général de l’EPSF (Etablissement public de sécurité ferroviaire), le 7 février, lors d’une présentation à Paris du projet européen. Selon lui, centraliser la délivrance des certificats de sécurité aux entreprises ferroviaires à un seul organisme, l’Agence ferroviaire européenne, basée à Valenciennes, risque de « s’accompagner de la suppression de toute possibilité de contrôle national ou local avant ou après l’exploitation des trains », souligne-t-il. Et d’illustrer ses propos : « Si on voit circuler un train dangereux à Thessalonique, c’est à Valenciennes qu’on prendra la décision de l’arrêter ! » Plus grave encore, selon lui, « aucun objectif commun de sécurité n’est fixé ». Il rappelle que les objectifs de sécurité sont établis par pays, dans une fourchette retenue par la Commission allant de 1 à 40.
Autre grande préoccupation, « il n’existera plus d’autorisation externe de mise en service du matériel, puisque c’est l’entreprise ferroviaire qui aura compétence sur cette question. C’est comme si on demandait à EasyJet d’avoir un centre d’ingénierie pour ses avions ! », estime Denis Huneau, pour qui le projet tel qu’il est bâti aujourd’hui risque d’abaisser le niveau de sécurité.

 

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