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SNCF. Drôle de date

Mis à jour le 20 juin 2017

Idée à première vue étrange, de convier la presse à la mi-juin pour un grand debriefing sur la SNCF, son œuvre et son destin. On est à la veille du lancement des TGV Bretagne et L’Océane, et au lendemain du dévoilement de la marque « inOui ». Pour ce qui est des voyageurs, la SNCF a alors tout loisir de délivrer ses messages à la presse et au public. Mais, surtout, ces 12 et 13 juin, on est entre les deux tours des élections législatives. Le nouveau pouvoir est en train de s’installer. De son côté, le groupe SNCF est en pleine élaboration de son projet, qui doit être présenté aux cadres dirigeants lors d’un séminaire en septembre. Tout le monde se cherche un peu.
Prenons le nouveau pouvoir. Que va-t-il faire ? Il y a des pistes. Guillaume Pepy en a relevé dans le programme du candidat Macron. On y parle « usages plutôt qu’infrastructures, accès aux territoires plus que vitesse pure, modèle économique plus que volonté politique, on y met l’accent sur la logistique », relève-t-il. Naturellement, l’« ouverture sur la dette » ne lui a pas échappé. Pistes qui vont dans le bon sens, d’autant plus que des proches (David Azéma dit-on, et Julien Dehornoy, entré depuis au cabinet d’Elisabeth Borne), ont participé à son élaboration. De plus, pour le président du directoire de SNCF, Elisabeth Borne au gouvernement, c’est un choix excellent. Une « ministre qui est une spécialiste du secteur », une « femme qui est stratège ». Et un ministère de plein exercice, c’est assez rare pour être salué.
Mais, ces 12 et 13 juin, Elisabeth Borne vient d’arriver, elle écoute, on attend le discours de politique générale du Premier ministre, on guette les quelques paragraphes qui pourraient être consacrés au transport, puis la feuille de route qui va traduire ces priorités en plan d’action. Au lendemain du séminaire de presse, Frédéric Saint-Geours, Guillaume Pepy et Patrick Jeantet, les trois présidents de SNCF, ont eu un déjeuner de travail avec Elisabeth Borne. Occasion de passer les messages et d’avoir des indications sur la suite des opérations.
On se cherche, mais la SNCF a tout de même des options solides. Etre un « groupe de solutions de mobilités et de logistiques », le tout au pluriel, précise Guillaume Pepy. Développer l’international, passé de 12 % du CA du groupe il y a dix ans à 33 % aujourd’hui et qui a mis le cap sur les 50 % d’ici 2022.
L’analyse est solide, les messages sont mûrs, mais comme leur principal destinataire est en train de se caler, ils ne sont pas délivrés de façon trop fermée ni calibrée. Ce drôle de moment a été le petit rien qui fait une rencontre réussie.
F. D.

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