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Le RER B va mal, Valérie Pécresse met en cause la SGP

Mis à jour le 09 juin 2017

A la suite d’incidents à répétition sur le RER B, le conseil du Stif a entendu, le 30 mai, les dirigeants de la RATP et de la SNCF, en l’occurrence Philippe Martin (DG adjoint de la RATP) et Alain Krakovitch (DG du Transilien). Valérie Pécresse a présenté dans la foulée à la presse des premières mesures, en pointant du doigt les travaux du Grand Paris Express. A Arcueil, ces travaux pour la future gare de correspondance entre ligne 15 Sud du Grand Paris et RER B sont en cours, et la RATP a fait le choix d’un ralentissement des circulations, à 30 km/h ; sur 500 mètres, tout en maintenant 20 trains par heure et par sens, devenus tous omnibus. Résultat de cette grille horaire tendue, le moindre incident a de larges répercussions. La branche de Saint-Rémy-les-Chevreuse du RER B n’a plus que 76 % de régularité, et celle de Robinson 63,5 %. « Intenable », dit Valérie Pécresse. Rude coup pour un RER où l’on avait réussi, rappelle Philippe Martin, en créant un poste de commandement unique, à gagner sept points de régularité en deux ans. Le dernier mois de mars a été catastrophique, avec 40 incidents majeurs sur la ligne, soit trois fois plus que d’habitude… Malheureusement, il n’y a pas grand-chose à faire d’ici l’été, qui devrait amener une détente avec les vacances. A la rentrée de septembre, Valérie Pécresse demande qu’on rétablisse 15 trains semi-directs pour Saint-Remy, ou que la desserte du plateau de Saclay soit renforcée, mais le service normal ne devrait être retrouvé qu’en novembre, après le ripage, à Arcueil, d’un ouvrage d’art sous les voies du RER. Or, le problème ne peut que se présenter à nouveau. Pour assurer de bonnes correspondances avec les RER, les gares du métro Grand Paris Express (métro profond comme on le sait) vont le plus souvent se placer sous les gares et les voies du RER. Et il y a 29 gares en correspondance.

Deux solutions se présentent. Ralentir comme l’a fait la RATP à Arcueil, ou fermer entièrement les circulations le week-end comme l’a fait la SNCF à Clamart, opération qui doit s’achever avec le ripage d’un ouvrage d’art sous les voies du RER en août. L’opération fermeture le week-end n’a rien d’édénique, mais elle a plutôt la préférence de la présidente de région, qui demande de toute façon que l’on sanctuarise pour les voyageurs l’heure de pointe en semaine. Reste que, selon Valérie Pécresse, une meilleure coordination des travaux avec la SGP s’impose. Remarque qui n’est pas du goût de la Société du Grand Paris, où l’on brandit comme un étendard la « coconstruction » et où l’on assure que, de comité technique en comité de pilotage puis en comité de suivi des chantiers, tout est fait, gare par gare, pour que tous les partenaires soient associés à la conception comme à la réalisation des chantiers. A commencer par le Stif, sans qui la SGP ne peut quasiment rien faire sans avoir l’aval du Stif… Reste qu’il vaudrait mieux s’entendre assez vite. Valérie Pécresse, qui a autorité sur les services de transport, mais pas directement sur la SGP (ce qu’elle regrette), entend profiter de son siège au conseil d’administration de la société pour peser dans les décisions. On est parti pour dix ans de chantier, rappelle-t-elle et il n’est pour elle « pas question que la construction d’un métro destiné à faciliter la vie impacte le vécu des voyageurs franciliens ».

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