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Jean-Michel Baylet bloque le financement de la LGV SEA

Mis à jour le 23 mai 2017

« En colère, et même très en colère », le président du conseil général du Tarn-et-Garonne refuse de participer au financement du projet de LGV Tours – Bordeaux, « jusqu’à nouvel ordre ». Le département doit apporter 6,935 millions d’euros, mais Jean-Michel Baylet, également président du parti radical de gauche, regrette l’absence des garanties réclamées sur le tracé de la phase suivante, entre Bordeaux et Toulouse. Plusieurs réunions récentes entre élus, associations et RFF se sont mal passées, selon lui. « Nous avons constaté que RFF revenait sur ses engagements et ne voulait pas en réalité investir dans les demandes que nous présentions pour améliorer le sort de nos populations et pour prendre en compte l’impact de cette ligne à grande vitesse sur nos territoires, explique-t-il. Nous avons décidé de recruter un Monsieur LGV qui s’occupera de défendre nos intérêts et nous mènerons si nécessaire le combat contre ce projet. » Un comble pour cet élu qui continue toutefois d’affirmer l’importance économique de la LGV et qui depuis un an explique que la région ne peut rester « la seule à être enclavée, alors que partout ailleurs en Europe il y a des lignes de ce type ». En décembre dernier, il avait créé une association pour les territoires traversés par la LGV (ATT/LGV, 66 représentants dans 31 communes). « Cette association espérons-le, va obliger l’Etat et RFF à prendre en considération nos revendications », précisait-il. Pour RFF, cela semble raté, qu’en sera-t-il de l’Etat ? C’est à la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, qu’il reviendra d’arrêter prochainement le fuseau dans lequel s’inscrira le tracé entre le sud du Tarn-et-Garonne et Toulouse.    

 

C. N.

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