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Comment faire pour que les DPX soient vraiment sur le terrain 

01 Mar 2016

SNCF

Dossiers > Après Brétigny, Denguin, Eckwersheim. Le grand malaise… et la mobilisation > Comment faire pour que les DPX soient vraiment sur le terrain 

Article présent dans le dossier : Après Brétigny, Denguin, Eckwersheim. Le grand malaise… et la mobilisation

Le 26 novembre, Guillaume Pepy et Jacques Rapoport annonçaient à l’entreprise trois mesures visant, comme dit le président de SNCF Réseau, à « remettre de la rigueur partout ». Un, les dirigeants de proximité (DPX) doivent être beaucoup plus sur le terrain et beaucoup moins dans les dossiers. Deux, tout incident significatif doit faire l’objet d’un rapport immédiat au responsable national de la Sécurité. Trois, la part variable de salaire des dirigeants de branche et métier ne dépendra en 2016 que d’un critère : la sécurité. Dans la logique de ces mesures est intervenue la nomination d’un directeur général Sécurité, compétent pour les trois Epic, Frédéric Delorme. Le premier point, la présence des DPX sur le terrain, est essentiel. Or, Jacques Rapoport reconnaissait, dans l’entretien qu’il nous a donné en décembre, que cette annonce était accueillie avec scepti- cisme. C’est aussi ce qu’il dit dans une lettre adressée aux DET (directeurs d’établissement) de SNCF Réseau le 23 décembre, que, nous nous sommes procurée : « Rétablir l’encadrement dans sa mission première d’encadrer est la condition indispensable à tout progrès réel dans la sécurité mais aussi dans la performance industrielle qui en est indissociable. Ce n’est pas la seule condition, mais c’est la toute première. C’est donc ce que nous avons retenu parmi nos premières priorités pour progresser en sécurité. J’ai pris connaissance de vos réactions à cette annonce : du scepticisme au mieux, de l’in- compréhension parfois. Je sais vos raisons : cette annonce a déjà été faite ...

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Retrouvez le dossier Après Brétigny, Denguin, Eckwersheim. Le grand malaise… et la mobilisation dans le magazine VR&T n°585

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