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« On a dû mettre les bouchées doubles »

04 Fév 2022

bus , Camion , conducteurs , marchandise , route , transport

Dossiers > Pénurie de conducteurs. Le transport interurbain à la peine > « On a dû mettre les bouchées doubles »

Article présent dans le dossier : Pénurie de conducteurs. Le transport interurbain à la peine

« Je reçois constamment des appels d’entreprises qui cherchent des candidats », indique Yoann Le Guen, qui dirige trois centres Aftral (« Apprendre et se former en transport et logistique ») dans le Finistère. Chaque année, l’organisme forme 220 000 personnes au niveau national dans les métiers du transport et de la logistique. Le formateur ressent le manque de candidats pour le poste de conducteur depuis environ quatre ans. « On a dû mettre les bouchées doubles au niveau du sourcing en recrutement. Aujourd’hui, travailler sur l’attractivité du métier est plus qu’essentiel. »

Yoann Le Guen évoque une plus forte carence dans le transport de voyageurs, notamment dans l’interurbain, qui peut pâtir de l’image d’une profession précaire. « Le Graal, ça reste de travailler dans un réseau urbain. C’est là que sont implantés les grands groupes. »

Sans se montrer alarmiste, le directeur des centres de Brest, Quimper, et Morlaix déclare qu’il faut être optimiste, tout en restant vigilant. « Les élèves sont toujours là. Avec des effectifs moindres qu’auparavant, certes, mais on arrive à remplir nos sessions. » Alternants et apprentis font par ailleurs le bonheur des entreprises, qui préfèrent de plus en plus former les jeunes conducteurs dans leurs murs.

La féminisation de la profession avance, elle aussi. L’UTP y travaille. « Il y a à peu près 20 % de femmes qui conduisent des engins dans le transport public. Il n’y a aucune raison pour qu’elles ne montent pas à 40 % », avance Claude Faucher.

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Retrouvez le dossier Pénurie de conducteurs. Le transport interurbain à la peine dans le magazine VR&T n°656

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