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Un métier à revaloriser

Article présent dans le dossier : Pénurie de conducteurs. Le transport interurbain à la peine

Le niveau de formation auquel s’effectuent les recrutements a beau avoir progressé ces dernières années, notamment dans le ferroviaire (voir interview de Mathieu Dufour), les conducteurs (510 593 personnes dans la branche transport et logistique en 2020) représentent toujours un fort volume d’embauches dans le transport. 2600 personnes par an par exemple chez Keolis. Dans les métiers du ferroviaire, CIFFCO, le centre de formation privé du groupe Getlink, élargit même son champ d’intervention pour répondre à une nouvelle demande. « A l’origine, en 2003, nous formions surtout des conducteurs de train pour le fret, et aujourd’hui, avec l’ouverture à la concurrence, nous recevons des demandes pour former des conducteurs de voyages commerciaux », assure Christophe Obert, responsable formations. Un centre a d’ailleurs ouvert en début d’année 2022 à Bordeaux pour former des conducteurs pour l’opérateur Le Train, basé près d’Angoulême.

Bus ecola formation conducteur

En pénurie, les métiers de conducteur subissent un turn-over élevé et peinent à séduire les candidats. « Le manque d’attractivité du métier est une préoccupation que nous partageons avec les entreprises. Si les conducteurs se sont révélés les héros de l’ombre de la crise sanitaire, les conditions difficiles d’exercice, dans le transport routier en particulier, ont aussi fait la une des médias. Sur ces métiers, nous aurions pu davantage remplir encore nos formations si nous avions ...

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Retrouvez le dossier Pénurie de conducteurs. Le transport interurbain à la peine dans le magazine VR&T n°656

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