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L’expertise française

Article présent dans le dossier : Quelles perspectives pour le métro automatique

Si le Canada peut s’enorgueillir de posséder le plus grand réseau de métro automatique au monde avec le célèbre Skytrain de Vancouver, qui pèse, à lui tout seul, pour près de 90 km, la France caracole néanmoins en tête sur le cumul des kilométrages de lignes en exploitation, et ce n’est pas l’arrivée prochaine du Grand Paris Express qui devrait infirmer cette tendance. Surtout, l’expertise française sur les systèmes de pilotage automatique et de contrôle-commande continue d’être unanimement reconnue sur toute la planète. Il est vrai que la France, en ce domaine, possède depuis plus de soixante ans une vraie longueur d’avance.

Dès les années cinquante, l’industrie française se distinguait déjà en inventant le premier pilotage automatique analogique PA BF, en étroite collaboration technique avec la RATP. Deux décennies plus tard, Interelec (bientôt filiale de Matra, aujourd’hui Siemens Mobility France) développait, à partir du PA BF, le fameux PA 135. Conçu pour le métro parisien, ce pilotage automatique sera très vite exporté à Santiago du Chili (1975) et Rio de Janeiro (1978).

Skytrain-Vancouver-Métro automatique

Vue d’artiste d’une rame Innovia Metro 300 de Bombardier pour le Skytrain de Vancouver.

Depuis cette époque héroïque, la technique a bien changé. Le numérique a remplacé l’analogique, tandis que les CBTC (Communication Based Train Control) et l’espacement par cantons ...

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Retrouvez le dossier Quelles perspectives pour le métro automatique dans le magazine VR&T n°641

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