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Renoncer à la réforme ferroviaire ? « No chance ! », dit Macron. « Good luck ! », répondent les syndicats

25 Avr 2018

SNCF

© Vie du Rail

Mis à jour le 02 mai 2018

Le gouvernement peut-il renoncer à sa réforme ? « No chance ! », dit Emmanuel Macron à Washington. « Good luck ! », lui répond de Saint-Denis au nom des cheminots Didier Aubert (CFDT). Après une interfédérale dans les locaux de SUD, la veille au soir, c’est au siège de la CFDT Cheminots que les quatre OS représentatives de la SNCF (CGT, Unsa, SUD-Rail, CFDT Cheminots) ont tenu ce mercredi une conférence de presse.

Le 7 mai, les organisations syndicales seront reçues par Edouard Philippe. Comme elles l’ont demandé. Elles espèrent que commenceront alors de vraies négociations. « Je n’imagine pas que le Premier ministre nous convoque pour nous dire que rien ne change », dit Laurent Brun (CGT Cheminots). Que s’apprêtent-elles à défendre ? Elles le feront savoir le 7, et en réservent la primeur à Edouard Philippe. Peu d’indications données ce mercredi 24 avril sur le fond, sur la stratégie ou la tactique dans la conduite de la grève. Signes possibles d’un accord pas facile à trouver, entre ceux qui sont totalement fermés à la concurrence et ceux qui l’admettent. Quelques annonces tout de même. Un, le jeudi 3 mai, journée de rassemblement « à Paris et dans les territoires ». Deux, si la rencontre avec le Premier ministre ne débouche sur rien, le 14 mai sera une journée « zéro cheminot ». Journée « sans train et sans chantier réseau », précise Didier Aubert. Ce lundi est déjà coché comme jour de grève, mais il s’agira que le plus grand monde possible cesse le travail, afin de montrer que les OS gardent l’initiative et de contrer le discours de la direction de la SNCF sur l’érosion de la grève. Les OS demandent enfin le remboursement partiel des usagers. Puisqu’ils font grève deux jours sur cinq, les usagers devraient se voir rembourser 40 % du montant de leurs abonnements.

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