« Le grand enjeu est la transparence des appels d’offres »
15 Déc 2014
Mis à jour le 23 mai 2017
Le 8e round de négociation d’un vaste accord de libre-échange entre l’Europe et le Japon s’est… class= »MsoNormal »>
tenu à Tokyo la semaine du 9 décembre. Un moment important pour l’industrie ferroviaire. La dernière rencontre du genre, en octobre, avait vu Bruxelles lever son objection au retrait de trois compagnies ferroviaires japonaises majeures – les trois « JR » : East Japan Railway, West Japan Railway, Central Japan Railway – de l’accord sur les marchés publics de l’OMC, un accord qui impose des règles d’ouverture en matière de marché. Un « délisting » jugé prématuré par l’industrie ferroviaire européenne, qui craint que l’Europe se soit privée là d’un levier de pression important pour s’assurer que les Japonais jouent le jeu sur les demandes de l’UE. En tête desquelles figure une plus grande transparence des appels d’offres et un assouplissement de la fameuse « clause de sécurité opérationnelle » qui, selon les Européens, constitue une véritable barrière technique à l’entrée sur le marché japonais.
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