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Filéo repense son offre autour de Roissy

© Keolis

Mis à jour le 14 juin 2018

Filéo, service de transport desservant de 20h à 7h du matin le bassin d’emploi de la plateforme aéroportuaire de Paris-CDG, propose depuis le 7 juin une offre plus dense et plus flexible. Après six mois de préparation, sont mis en œuvre les développements prévus au nouveau contrat qui lie Keolis et Ile-de-France Mobilités, depuis le 1er janvier dernier et pour cinq ans. Un service que Keolis exploite depuis 2010. Le service est étendu aux quartiers denses du Blanc-Mesnil, Filéo desservant désormais 29 communes en tout et 40 nouveaux arrêts. Mais les nouveautés ne se limitent pas à cette extension géographique.

Pour les communes au sud de la plateforme aéroportuaire (Goussainville, Villeparisis, Mitry-Mory, Tremblay-en-France, Villepinte, Aulnay-sous-Bois, Sevran et Le Blanc-Mesnil), un nouveau service de transport à la demande zonal remplace les cinq lignes de TAD existantes. Selon Youenn Dupuis, DG adjoint Ile-de-France de Keolis, qui doit s’exprimer sur le sujet ce mardi à 16h30 sur le stand de Keolis au salon Transports publics, « ce ne sont plus des lignes virtuelles, au tracé inchangé et dont les arrêts sont activés en fonction de la demande, mais vraiment du sur-mesure, dont le parcours est construit en fonction de la demande ». En d’autres termes, « on passe de la mobilité à la demande à une dimension (le circuit est fixe), à une mobilité à deux dimensions (le circuit bouge), voire à trois (on adapte l’offre de véhicules en fonction de la demande : bus, VTC ou taxi) ».

On se rapproche ainsi, sans l’atteindre toutefois, du coût de transport d’une ligne régulière. Un chiffre circule souvent pour le TAD : 50 euros le voyage. Ordre de grandeur d’une course en taxi. Frein considérable pour le développement du TAD, alors qu’on est dans un système de transport public, accessible pour le client avec le passe Navigo.

Autre innovation du service, la mise en place d’un hub d’échanges de toutes les lignes Filéo, qui se substitue aux divers points de correspondance. Situé à la gare routière de Roissy-pôle, il présente un avantage énorme : c’est un lieu où il y a toujours du monde (clients, personnels de Keolis ou d’ADP). Plus rassurant, en pleine nuit, que des points un peu à l’écart. De plus, le système de correspondances est garanti.

Enfin le système ne pourrait fonctionner sans la dématérialisation de la billettique. Pas question d’installer des valideurs de bus dans les taxis ou VTC des entreprises partenaires. Chaque chauffeur dispose donc d’une application sur une tablette. Le logiciel scanne le code de réservation du parcours, qui rentre directement dans le système de billettique d’IDF-M. Ce qui est accessible depuis le 7 juin par QR code devrait l’être à la rentrée pour les SMS, afin d’accueillir les passagers disposant d’un simple portable, et pas d’un smartphone.

F. D.

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