fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Etude : l’autopartage favorise la démotorisation

Mis à jour le 23 mai 2017

Les adeptes de l’autopartage utilisent moins la voiture et empruntent davantage les modes de transport vertueux pour l’environnement. C’est le principal enseignement de l’étude réalisée en 2012 auprès de plus de 2 000 autopartageurs par le bureau de recherche 6-t, en partenariat avec France Autopartage et le soutien de l’Ademe. Les adeptes de l’autopartage utilisent moins la voiture et empruntent davantage les modes de transport vertueux pour l’environnement. C’est le principal enseignement de l’étude réalisée en 2012 auprès de plus de 2 000 autopartageurs par le bureau de recherche 6-t, en partenariat avec France Autopartage et le soutien de l’Ademe. Les adeptes de l’autopartage utilisent moins la voiture et empruntent davantage les modes de transport vertueux pour l’environnement. C’est le principal enseignement de l’étude réalisée en 2012 auprès de plus de 2 000 autopartageurs par le bureau de recherche 6-t, en partenariat avec France Autopartage et le soutien de l’Ademe.Les adeptes de l’autopartage utilisent moins la voiture et empruntent davantage les modes de transport vertueux pour l’environnement. C’est le principal enseignement de l’étude réalisée en 2012 auprès de plus de 2 000 autopartageurs par le bureau de recherche 6-t, en partenariat avec France Autopartage et le soutien de l’Ademe. L’étude porte principalement sur les services en boucle – avec restitution du véhicule au point de départ – avec véhicules thermiques, comme Mobizen en Ile-de-France, Autocool à Bordeaux ou Marguerite à Nantes. Premier constat : la course moyenne représente 50 km et 6 heures, le nombre d’abonnés à ces services étant estimé à 25 000 en France… et presque autant à Paris avec Autolib’.
«  On constate un fort taux de démotorisation, puisque, après l’autopartage, 78 % des personnes interrogées n’ont plus aucun véhicule, contre 39 % avant », souligne Nicolas Louvet, directeur général de 6-t. Et alors qu’ils étaient 50 % à détenir une voiture, ils ne sont plus que 18 %. Même si l’argument est un peu connu des autopartageurs, puisqu’ils sont 46 % à déclarer que c’est un mode économique, « il y a encore beaucoup de communication à faire sur cet aspect, cela revient pas loin de deux fois moins cher que d’avoir son véhicule », poursuit-il.
L’autopartage s’adresse surtout aux petits rouleurs, ceux qui parcourent de 5 000 à 6 000 km par an, alors que la moyenne nationale est à 12 000 km. Après adhésion au service, ils ne roulent plus que 3 100 km au maximum, dont près de 1 500 avec les voitures partagées. Loin de réduire leur mobilité, les adeptes du carsharing se déplacent autrement. Ils sont en effet des plus gros marcheurs que la moyenne (30 % d’entre eux), prennent davantage les TC (25 %) ou encore le vélo (29 %). « L’autopartage incite aux politiques d’écomobilité », assure Jean-Baptiste Schmider, directeur de France Autopartage, qui précise aussi que, s’agissant « d’un changement lourd de comportement, le marché est lent à “maturer” ». D’où l’importance du coup de pouce des collectivités locales durant les premières années. Elles ont aussi un rôle majeur à jouer pour booster l’attractivité de l’autopartage, en favorisant les modes alternatifs en général et en agissant sur le stationnement…
    

Cécile NANGERONI
 

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat