Une audience doit se tenir le 4 septembre au tribunal de Saint-Denis après l'assignation de la SNCF par la CGT-Cheminots, qui s'oppose aux modalités des prochaines élections professionnelles.
Le principal syndicat de l'entreprise (35,6 %, en baisse lors des dernières élections) conteste le regroupement le 19 novembre de l'ensemble des élections internes (délégués aux conseils d'administrations, délégués du personnel, des CE…), ainsi que la réduction du nombre de bureaux de vote, selon Le Parisien du 1er septembre.
La CGT espère faire coïncider les élections avec l'ouverture des négociations sur le temps de travail au niveau de l'entreprise et de la branche ferroviaire. Elle ne cache pas vouloir tirer profit d'un printemps qui pourrait être potentiellement agité socialement.