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Moins d’argent pour surveiller la qualité de l’air

30 Nov 2015

Mis à jour le 06 juin 2017

A l’heure de la Cop21, cela fait désordre : la surveillance de la pollution de l’air en France est en mal de financement car plusieurs départements ne veulent plus y contribuer. « Deux départements, le Calvados et la Manche, viennent de nous annoncer leur retrait de l’association. On passe de 90.000 euros (de leur part) à 0. C’est brutal. A la veille de la Cop21, quel signal on envoie aux habitants! C’est une vraie question! », se scandalise Clara Osadtchy, conseillère régionale EELV qui était présidente jusqu’au 26 novembre d’Air Com, l’association de surveillance de la qualité de l’air de Basse-Normandie, interrogée par l’AFP.
L’association financée à 50% par l’Etat, à 25% par les collectivités locales et à 25% par l’industrie, affiche un budget annuel d’environ un million d’euros.
Selon Atmo, qui fédère les associations de surveillance de l’air, le cas bas-normand n’est malheureusement que l’illustration d’une tendance générale « très très claire ». Sur 64 départements adhérents, « une vingtaine ont annoncé leur départ pour 2016, voire 2015, ou risquent de baisser leurs apports », précise Bernard Garnier, président de la fédération dont les données permettent d’alerter la population lors des pics de pollution et d’enclencher des mesures comme la gratuité des transports ou les limitations de vitesse.
La région parisienne est également touchée : les Yvelines viennent de se retirer d’Airparif pour 2016, après la Seine-et-Marne en 2015 et les Hauts-de-Seine en 2012, soit 180.000 euros de financement évaporé en tout, selon Jean-Félix Bernard, le président d’Airparif qui tourne toutefois avec un budget de 6 millions d’euros environ.
Le choc est d’autant plus difficile à encaisser que « la tendance est à la baisse aussi côté financement de l’Etat, avec un recul annoncé de 3,5% » de l’enveloppe nationale versée aux associations d’Atmo pour 2016, et que le financement privé reste incertain, affirme M. Garnier.
Enfin, l’industrie contribue au financement en proportion de ses émissions … qui baissent.

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