fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

LGV Rhin-Rhône : une étoile à trois branches

27 Jan 2010

Grande vitesse

Mis à jour le 23 mai 2017

Premier projet « province-province » dans un réseau majoritairement composé d'axes reliés sur Paris, le Rhin-Rhône est conçu comme une étoile à trois branches. Maillon considéré comme essentiel de l’Europe à grande vitesse, le Rhin-Rhône est conçu comme une étoile à trois branches. Les trois sont inscrites au Grenelle 1 de l’environnement qui prévoit, à l’horizon 2020, le lancement de 2 000 km de lignes nouvelles. C’est aussi le premier projet « province-province » dans un réseau majoritairement composé de radiales, c’est-à-dire d’axes reliés sur Paris. Chez RFF, on souligne que, de toutes les LGV, c’est « la plus performante », permettant la meilleure amélioration des temps de parcours par rapport aux kilomètres de ligne réalisés. Toutefois, la programmation de ces trois branches dépend d’un calendrier en trois phases et pas encore toutes finalisées.

 

La branche Est, en cours, doit sur 140 km relier Villers-les-Pots, à l’est de Dijon, à Petit-Croix, au sud-est de Belfort. Les travaux de génie civil ont commencé en juillet 2006, l’installation des équipements ferroviaires en janvier 2009. Les premiers essais sont prévus à l’été 2011 pour une ouverture confirmée pour le 11 décembre 2011. Sur cette branche, on estime à 2,4 millions le nombre de voyageurs par an, à 1,1 million le nombre de voyageurs par gare nouvelle, celles desservant les agglomérations de Besançon, Belfort et Montbéliard. Budget global : 2,312 milliards d’euros. Restera à réaliser la deuxième phase de cette branche Est, soit 35 km côté Moulins, 15 km côté Dijon. L’échéance : comme la déclaration d’utilité publique est valable jusqu’en janvier 2012, les acquisitions doivent être faites avant. Et avant la fin des travaux sur les 140 premiers kilomètres, afin de poursuivre dans la foulée. Budget supplémentaire : 850 millions. Et un nouveau gain de 15 minutes. La mise en service est envisagée en 2015.

 

La branche Ouest qui traverse Dijon suppose d’importants travaux en agglomération, avec beaucoup de tunnels. Une nouvelle gare est prévue à Dijon, à côté du Parc des expositions. Cette branche contribue à connecter l’Est à Paris et offre un gain de temps appréciable pour tous ceux qui ne s’arrêtent pas à Dijon. Le tracé a été choisi en 2007 pour le passage dans Dijon, le projet déclaré d’intérêt général. Prochaine étape : l’étude d’avant-projet sommaire sur 45 km.

 

La branche Sud, vers Lyon, constitue « le maillon manquant stratégique » du réseau à grande vitesse entre l’Europe du Nord et l’Arc méditerranéen. Elle mettra Strasbourg à 2 heures 15 de Lyon, soit un gain de temps de moitié. En juin 2008, trois fuseaux ont été définis, les études préliminaires sont juste achevées, tout comme les consultations. L’objectif : envoyer le dossier au ministre, au printemps, afin qu’il effectue son choix entre les fuseaux.

 

Le budget est estimé entre 2,9 et 3,2 milliards d’euros pour 157 km.

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat