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SNCF, RFF et Jean Louis Bianco dressent le portrait-robot du GIU

11 Avr 2013

SNCF

Mis à jour le 23 mai 2017

Jean-Louis Bianco, chargé par le gouvernement de réfléchir à la réforme du système ferroviaire, a indiqué le 11 avril lors d’un colloque à l’Assemblée nationale qu’il remettrait son rapport le 22 avril. Il a confirmé qu’un « EPIC de tête » aurait pour filiales d’un côté la SNCF, de l’autre le GIU (gestionnaire d’infrastructures unifié). « Il faudra être précis dans la compétence du nouveau pôle GIU et dans les règles du jeu pour que la transparence et l’équité soient assurées. Il faut aussi renforcer le rôle de l’autorité de régulation », a précisé l’ancien ministre socialiste des Transports.
Jacques Rapoport, le nouveau président de Réseau ferré de France (RFF) se félicite des principes « simples » proposés par Jean-Louis Bianco, alors que jusqu’à présent le système GI-GID (gestionnaire d’infrastructures délégué, ndlr) était « une fantastique machine à détruire le travail des hommes ! Ce système a créé artificiellement une divergence d’intérêts entre des collègues qui font le même travail ».
Pour Jacques Rapoport, « il ne s’agit pas de transformer le GI en chef suprême. Le GI n’est pas une autorité publique (la stratégie relève des pouvoirs publics) mais un opérateur public. Le réseau appartient à la collectivité et le GI en est le dépositaire ».
D’où l’urgence à voir enfin aboutir la réforme selon le patron de RFF et celui de la SNCF, qui affirment parler d’une seule voix. Selon Guillaume Pepy, la SNCF peut contribuer au succès de la réforme « en faisant plus de service public et plus de transports publics avec moins d’argent public ». Ainsi, l’unification du système ferroviaire pourrait se traduire par « un doublement des gains d’efficacité ». Soit 500 à 600 millions d’euros annuels. Le président de la SNCF évalue aussi « la productivité organisationnelle et du capital » à un gain du même ordre. Soit un gain d’un milliard d’euros annuels permis par la réforme, assure-t-il. Les régions espèrent que ces économies au sein du GIU seront répercutées dans leur facture de TER. Pour le président de la commission transports et infrastructures de l'ARF, Jacques Auxiette : « Le patrimoine du GIU appartient à la nation. Ce patrimoine aujourd'hui ce sont les voies et les quais. Et l’on devrait y ajouter les gares ! » a-t-il proposé.

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