fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

La menace de Christian Bourquin

22 Fév 2013

Mis à jour le 23 mai 2017

« Les territoires qui se sont développés dans l’Histoire sont ceux qui ont facilité les déplacements des hommes et des marchandises », assure le président (RDSE) du conseil régional du Languedoc-Roussillon cité par L’Indépendant. La région fait de la LGV Montpellier – Perpignan une grande cause régionale car « il s’agit de relier le réseau TGV le plus fréquenté d’Europe, la France, au réseau le plus long, l’Espagne. L’Europe ne peut pas continuer à nous laisser de côté et l’Etat français doit comprendre l’enjeu », prévient Christian Bourquin. L’élu rappelle que la région s’est engagée à payer 400 millions d’euros pour Nîmes – Montpellier « dans l’objectif que Perpignan – Montpellier suive ». Et il menace : « Si ce n’est pas le cas, il n’y a plus d’intérêt à ce que la région continue à miser sur ce dispositif »…   
 

sur le même thème

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat