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Des partenariats différents selon les LGV

13 Juil 2018

Dossiers > Contournement Nîmes – Montpellier. Un peu de TGV, beaucoup de Fret > Des partenariats différents selon les LGV

Article présent dans le dossier : Contournement Nîmes – Montpellier. Un peu de TGV, beaucoup de Fret

RFF, devenu SNCF Réseau, a testé différents modèles de partenariats publics-privés pour financer trois lignes nouvelles lancées dans années 2010. Les concessionnaires choisis dressent un premier bilan, un an après l’entrée en service de SEA et BPL, et sept mois après l’ouverture du CNM.

 

Pour lancer dans les années 2010 quatre lignes nouvelles en même temps et financer tous les investissements qui vont avec, Réseau ferré de France (RFF qui deviendra ensuite SNCF Réseau) n’avait pas vraiment le choix : le gestionnaire des infrastructures a décidé de réaliser lui-même la deuxième phase du TGV Est et de faire appel à des entreprises privées pour les autres. Mais en testant différents modèles de partenariat public-privé (PPP) à l’issue d’appels d’offres gagnés chacun par l’un des trois majors du BTP, Bouyges, Eiffage et Vinci.

Ainsi, à l’issue d’un appel d’offres à deux tours, RFF a signé en juin 2012 avec Oc’Via (qui regroupe Bouygues Construction, Colas Rail, Alstom et Spie Batignolles) un contrat sur 25 ans qui prévoit la conception, le financement et la réalisation du contournement Nîmes - Montpellier. Oc’Via est désormais chargé de la maintenance de la ligne, jusqu’en juillet 2037.

Le même type de partenariat avait été signé un an auparavant avec Eiffage Rail Express (ERE) pour construire et maintenir la ligne à grande vitesse Bretagne - Pays de la Loire dans le cadre d’un contrat s’étendant sur la même durée ...

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Retrouvez le dossier Contournement Nîmes – Montpellier. Un peu de TGV, beaucoup de Fret dans le magazine VR&T n°613-614

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