« Nous comptons porter l’activité internationale de Captrain France de 5 % à 25 ou 30 % »
06 Mai 2021
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Article présent dans le dossier : Fret ferroviaire. L’espoir vert
Sommaire
- Fret ferroviaire. L’espoir vert
- « Nous craignons que SNCF Réseau ne puisse pas suivre si l’Etat ne lui en donne pas les moyens »
- La nouvelle organisation du pôle fret ferroviaire et logistique de la SNCF
- « Il est possible de sauver Fret SNCF sous deux conditions »
- « Nous comptons porter l’activité internationale de Captrain France de 5 % à 25 ou 30 % »
- Fusion des ports de l’Axe Seine. Une nouvelle chance pour le fret portuaire
Le 1er janvier dernier, VFLI est devenu Captrain France. La filiale de droit privé de la SNCF cherche à développer son activité en Europe dans une logique de coopération avec le réseau des entreprises ferroviaires constitué autour de Captrain en Europe. Explications avec Stéphane Derlincourt, le président de Captrain France.
Ville, Rail & Transports. Pourquoi avoir changé le nom de VFLI pour celui de Captrain ?
Stéphane Derlincourt. Depuis le 1er janvier VFLI est devenu Captrain France. Ce n’est pas pour une question d’image car VFLI enregistrait des taux de satisfaction élevés.
Mais nous souhaitons désormais évoluer sur un terrain de jeu plus large que notre seul marché domestique. En effet, le terrain de jeu du ferroviaire est la longue distance. Les flux sont plutôt européens que franco-français.
La marque Captrain est un réseau d’entreprises ferroviaires en Europe, constitué depuis une dizaine d’années par le groupe SNCF. Il y en a en Allemagne, en Italie, en Belgique… et dans l’est de l’Europe. Le but est de constituer, à terme, un réseau maillé à l’échelle européenne. Captrain France se positionne comme la pièce manquante en France dans le réseau européen. Il s’agit de donner de la visibilité à notre entreprise. VFLI était bien connue sur le territoire français mais manquait de visibilité en Europe.
Nous avons changé de nom, mais nous restons les mêmes, fortement engagé...
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Retrouvez le dossier Fret ferroviaire. L’espoir vert dans le magazine VR&T n°647