Introduction
Le marché de l’emploi dynamique dans les transports reste un gros pourvoyeur d’emplois. Le secteur continue de chercher tous types de profils et de diplômes. Mais avec la montée de la digitalisation, de nouvelles tendances apparaissent. On observe un intérêt croissant pour les formations relatives aux données, aux mutations digitales et à la relation clients. Quant aux diplômes d’ingénieurs, ils restent toujours extrêmement appréciés.

Les métiers de la conduite représentent également les plus gros besoins dans les transports urbains. Sur 33 000 salariés en France, Transdev compte par exemple 24 000 chauffeurs et en embauche 6 000 par an, dont la moitié en CDI. « C’est un métier sur lequel nous rencontrons de plus en plus de difficultés à recruter, comme l’ensemble des professionnels du secteur. Les horaires souvent décalés expliquent en partie le manque d’attractivité, c’est pourquoi nous réfléchissons chaque fois que c’est possible à une organisation du travail moins contraignante avec des journées en un ou deux services », explique Clément de Villepin, directeur des ressources humaines.
Du côté du transport ferroviaire, le nombre
de roulants enregistre un recul d’1,5 %. La SNCF a recruté 4 500 salariés en CDI en 2019. Dans toutes les branches les métiers de la maintenance sont particulièrement recherchés.
Les recrutements se veulent diversifiés, avec des postes ouverts aux jeunes comme aux seniors. Dans les transports urbains, 30 % des recrues ont moins de 30 ans, alors
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Publié le 02/07/2024