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Les formations en alternance suscitent de plus en plus d’intérêt

05 Fév 2019

Dossiers > Recherche diplômés (presque) désespérément > Les formations en alternance suscitent de plus en plus d’intérêt

Article présent dans le dossier : Recherche diplômés (presque) désespérément

Rapprocher théorie et pratique, notamment par le biais de l’alternance : cette stratégie gagne du terrain dans le secteur des transports. La réforme de la formation professionnelle pourrait accentuer la tendance.

 

Comment accède-t-on aux métiers du transport ? L’approche varie considérablement selon les catégories de personnels. La politique de formation tient d’abord compte d’une spécificité du secteur : 68 % des salariés sont des conducteurs. Un métier réglementé, qui impose donc un cadre strict pour l’entrée dans la profession, puisqu’il faut être armé du permis de conduire et de la formation initiale minimum obligatoire (Fimo). Ce dispositif induit des critères d’âge minimum que les partenaires sociaux songent aujourd’hui à assouplir pour faire face à la pénurie de main-d’œuvre que connaît le secteur, aussi bien en transport de personnes que de marchandises. Un dispositif de conduite encadrée de véhicules industriels marchandises et voyageurs est à l’étude, tout comme la possibilité de conduire des véhicules de catégorie D à partir de 18 ans.

Dans les métiers de l’exploitation, la filière démarre avec les CAP pour se poursuivre avec les bacs pros puis au niveau bac +2 avec les BTS ou les DUT. « On constate, comme dans beaucoup de secteurs, une tendance à augmenter le niveau de qualification au recrutement. L’apprentissage n’est pas la voie principale d’accès à la formation initiale, mais intervient souvent au bout d’un an ou deux ans selon les types de parcours. Les spécificités du ...

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Retrouvez le dossier Recherche diplômés (presque) désespérément dans le magazine VR&T n°620

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