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La SGP décapitée

Mis à jour le 23 mai 2017

Etienne Guyot est évincé mais le président du directoire n’est pas le seul à céder la place à la Société du Grand Paris. Mardi 21 janvier, va avoir lieu la réunion du Conseil… de surveillance de la SGP, qui doit mettre fin aux fonctions d’Etienne Guyot et proposer pour lui succéder  le candidat désigné par le gouvernement, Philippe Yvin, aujourd’hui conseiller du Premier ministre. Le Conseil de surveillance est composé de 21 membres, 11 représentants de l’Etat et 10 grands élus : les huit présidents de conseils généraux d’Ile-de-France, le président du conseil régional, Jean-Paul Huchon, et un représentant des maires, André Santini, président. Les présidents de conseils généraux de droite, Arnaud Bazin (Val-d’Oise), Patrick Devedjian (Hauts-de-Seine)  Alain Schmitz (Yvelines) qui se sont déclarés le 13 janvier  dans un communiqué commun « hostiles à l’éviction du président Guyot » doivent se prononcer contre. Christian Favier (PC, Val-de-Marne), lui aussi très hostile, devrait voter contre. A gauche, on voit mal Stéphane Troussel (PS, Seine-Saint-Denis), se prononcer contre une nomination voulue, dit-on, par l’ancien patron du département, Claude Bartolone, à la manœuvre pour tout ce qui concerne la métropole. Mais Jean-Paul Huchon, le président socialiste de la région, a déjà dit son opposition à l’éviction d’Etienne Guyot. Il devrait le redire le 21 janvier. Pas sûr qu’il aille pour autant jusqu’à voter contre. Quant aux représentants de l’Etat, on les voit mal s’opposer à une nomination voulue par le Premier ministre, même si Patrick Devedjian, qui s’insurge contre une « révocation sans faute », nous dit qu’ils  ne sont pas « forcés de se coucher ». Au-delà du conseil de surveillance, on entend un même mot dans la bouche de personnalités de gauche proches du dossier mais qui ne veulent pas être citées : « c’est une connerie ». D’autant que le rôle joué par Philippe Yvin dans la rédaction de la loi sur les métropoles n’a pas été apprécié de tout le monde.

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