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Ansaldo sera japonais ou chinois

20 Oct 2014

Ansaldo

Mis à jour le 23 mai 2017

Pour Ansaldo STS, le dénouement semble proche. Mauro Moretti, le président de Finmeccanica…  

a fait état de sa « short list » le 14 octobre lors d’une audition devant le sénat italien. Une des plus belles entreprises de la signalisation européenne va être acquise soit par le Chinois CNR, soit par le Japonais Hitachi. Et cette acquisition pourrait avoir des conséquences au-delà de la signalisation. Le holding d’Etat Finmeccanica souhaite depuis des années se désendetter en vendant ses deux filiales ferroviaires. Ansaldo STS est une entreprise de très haut niveau, à la fois fleuron et poids lourd du secteur, avec 1,5 milliard de CA ; AnsaldoBreda, constructeur, a beaucoup moins bonne réputation. Finmeccanica n’a jamais changé de ligne, et c’est l’ancien patron des FS, Mauro Moretti, désormais aux commandes de Finmeccanica, qui l’applique : les deux seront vendus au même acquéreur. A peu près toutes les entreprises ont regardé le dossier. On a parlé d’Alstom, de Siemens, de Bombardier, de Thales, de Mitsubishi, et finalement ce sont donc deux Asiatiques qui ont été retenus: le Japonais Hitachi et le Chinois CNR. Acheter Ansaldo STS, c’est s’emparer d’un savoir-faire mondialement reconnu et d’un beau carnet de commande. Prendre AnsaldoBreda, ce n’est pas acquérir une entreprise aujourd’hui performante mais c’est devenir un constructeur européen. Européen, Hitachi l’est déjà avec son site anglais. Mais il n’est pas encore continental.  Et CNR ne l’est pas du tout. Quel que soit le vainqueur l’acquisition nourrira les craintes de tous les industriels qui annoncent depuis des années la venue prochaine sur le sol européen des concurrents redoutables venus d’Asie. Même si la percée actuelle d’Hitachi est spectaculaire, avec la vente des premières rames régionales pour l’Ecosse, c’est surtout le monde chinois qui fait peur. Les Chinois, dit un observateur ont fait leur « shopping list » de technologies sensibles qu’ils comptent acquérir dans le domaine. Cela a commencé par la tentative avortée d’acheter Outreau Technologies et ses cœurs d’aiguille, cela s’est concrétisé par l’acquisition récente de Valdunes et de ses roues à grande vitesse, et ce n’est pas fini. Et à la différence  d’Hitachi, qui n’est évidemment pas un nain mais qui est seul à la manœuvre, c’est toute la puissance de l’Etat Chinois qui est derrière CNR dans cette stratégie d’acquisition de savoir-faire.

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