Industrie. Un mauvais coup pour Lohr
04 Mai 2015
Mis à jour le 23 mai 2017
Les régions géographiquement concernées par l’annonce de l’abandon du projet d’Autoroute ferroviaire Atlantique n’ont pas été les seules à réagir dès le 30 avril. En fin d’après-midi, Philippe Richert, président du conseil régional d’Alsace, faisait part à son tour de sa « consternation ». Non seulement à cause du « très mauvais signe » envoyé questions pollution ou encombrement routier, mais plus particulièrement parce que « cette décision brutale porte également des conséquences très sérieuses pour l’entreprise Lohr qui depuis six ans porte le développement industriel de ce modèle de transport ferroviaire ». En évoquant cette entreprise dont la santé a été fragilisée ces dernières années par la forte baisse de la demande en remorques routières – son cœur de métier – Philippe Richert ne cache pas ses craintes sur la survie d’un des symboles industriels de la région qu’il préside.
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