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Carton rouge pour la rénovation du métro de Londres

09 Mai 2016

Londres , Royaume-Uni

Mis à jour le 23 mai 2017

Sadiq Khan, le nouveau maire de Londres, fils comme chacun sait d'un chauffeur de bus, compte beaucoup sur le métro pour refaire de Londres une capitale européenne de la nuit Comme le rapportait Le Monde, les clubs ferment les uns après les autres et les jeunes partent s'amuser à Berlin, Prague ou Amsterdam. Sadiq Khan veut donc un métro qui fonctionne toute la nuit. Ce qui est déjà dans les tuyaux pour six lignes, les vendredi et samedi soirs, et n'a pas été sans frictions avec le personnel : les grèves ont retardé d'un an le lancement du Night Tube, initialement prévu en septembre dernier. Mais il y a déjà du chemin à faire et de lourdes factures à payer pour qu'il fonctionne bien le jour. Un « désastre » : voilà comment le conseil de Londres a qualifié l'installation d'un nouveau système de signalisation sur quatre lignes de métro, projet qui a pris cinq ans de retard et coûtera au final 886 millions de livres (1,12 milliard d'euros) de plus que prévu. Dans ce scandale, le gestionnaire du réseau TfL et Bombardier sont montrés du doigt dans un rapport présenté en mars. En 2011, Bombardier avait remporté ce contrat d'installation du CBTC (Communications-based Train Control, système de contrôle automatique des rames de métro), d'un montant de 354 millions de livres (448 millions d'euros). Le deal était de finir les travaux d'ici 2018. Mais après une performance qualifiée de « honteuse » par la mairie, le contrat a été annulé en décembre 2013, TfL ayant néanmoins versé 85 millions de livres (107,5 millions d'euros) au groupe. Thales a depuis repris le projet, promettant de le finaliser en 2023, mais la facture sera beaucoup plus salée, atteignant 1,5 milliard d'euros ! La faute à une « grave erreur de gestion » de la part de TfL mais aussi à un cafouillage signé Bombardier. Si les Britanniques concèdent avoir mal géré l'attribution du contrat, l'ancien maire de Londres Boris Johnson accusait : Bombardier « nous a roulés », estimait-il. Le groupe avait alors précisé « ne pas être d'accord avec ce rapport ».

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