fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

LGV Rhin Rhône : empreinte carbone nulle dans 12 ans

27 Sep 2009

Mis à jour le 23 mai 2017

RFF, la SNCF et l’Ademe ont présenté le 25 septembre le « bilan carbone » de la ligne à grande vitesse Rhin-Rhône qui doit relier Dijon à Mulhouse à partir de 2011. Leurs études prennent en compte les émissions de CO2 à toutes les étapes, de la conception, la réalisation, à l’exploitation de la liaison. Résultat, l’empreinte carbone de cette ligne deviendra nulle à partir de douze ans d’exploitation et rentable au-delà. La partie amont (conception et construction) représente, sur 30 ans, 43 % des émissions totales, contre 57 % pour l’exploitation et la maintenance. A l’avenir, le passage au crible du bilan carbone deviendra un critère pour choisir les techniques et matériaux de construction utilisés sur un chantier, explique RFF. Pour France Nature Environnement (FNE), qui rassemble 3 000 associations, la réalisation d’un bilan carbone complet des LGV est une réelle « avancée », mais elle ne doit pas faire oublier d’autres enjeux environnementaux. « Quand une ligne à grande vitesse coupe une vallée en deux, il est très difficile d’évaluer ou de quantifier les atteintes à l’habitat d’une espèce végétale ou animale », rappelle Michel Dubromel, responsable transport au sein de FNE.

sur le même thème

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat