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Du centre-ville à la périphérie

03 Oct 2016

Gare , Infrastructure , Intermodalité , Interurbain

Dossiers > A quand les gares routières ? > Du centre-ville à la périphérie

Article présent dans le dossier : A quand les gares routières ?

La localisation et le dimensionnement des points d’arrêts dépendent de leur fonction dans le réseau : les arrêts « tête de ligne » servant de départ et de terminus sont la plupart du temps positionnés en centre-ville et reliés au réseau de transport urbain comme c’est le cas à Amiens, Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Paris, Rennes, Rouen, Strasbourg et Toulouse. Ce qui leur apporte une forte visibilité. En revanche, les arrêts intermédiaires dans lesquels les cars font « escale » sont plus souvent situés en périphérie urbaine. « Cette différence de positionnement s’explique par le souci des opérateurs de maximiser la robustesse des rotations : en minimisant les sorties de voie rapide le long du trajet, ils évitent les centres-villes et leur congestion, et préservent ainsi leur temps de parcours. Pour autant, les points d’arrêt intermédiaires sont choisis de manière à ménager l’accessibilité clients : ils sont accessibles en transport en commun à 93 % d’après notre recensement de juin 2016 », indique Florian Fèvre dans son étude.

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