Du simple arrêt à la « vraie » gare routière

A la suite d’une mission réalisée chez Gares & Connexions, une étude a pointé trois catégories de gares. – Le niveau 1 : le point d’arrêt est situé sur la voie publique et n’est généralement pas matérialisé au sol ni identifié par un panneau. Il n’offre aucun équipement de confort. 81 points d’arrêts sont recensés dans cette catégorie en France. – Le niveau 2 : le point d’arrêt est situé dans une infrastructure de transport dont la fonction principale n’est pas routière mais dont les installations accueillent des gares dans une logique d’intermodalité (gare ou aéroport). Les voyageurs peuvent donc profiter de services situés dans les espaces d’attente dédiées au mode principal à condition qu’ils soient suffisamment proches. 90 points d’arrêt ont été comptabilisés dans cette catégorie. – Le niveau 3 : le point d’arrêt est une gare routière adaptée à l’attente des voyageurs. Ce type d’infrastructure est rare en France. Citons dans cette catégorie la gare routière de Clermont-Ferrand-les-Salins : dotée de panneaux d’informations horaires, elle dispose d’une salle d’attente et propose parmi d’autres services de la restauration. Pour en savoir plus : mémoire de fin d’étude de Florian Fèvre consultable sur : www.t-u-f.net/carsmacron.pdf

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