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Le point de vue de trois opérateurs  

03 Oct 2016

Gare , Infrastructure , Intermodalité , Interurbain

Dossiers > A quand les gares routières ? > Le point de vue de trois opérateurs  

Article présent dans le dossier : A quand les gares routières ?

Pierre Gourdain, DG France de Flixbus. Sonia Arhainx, directrice d’isilines. Roland de Barbentane, DG de Ouibus. Ville, Rail & Transports. Quels sont vos besoins (nombre de gares, etc.) et quelle est votre définition d’une gare routière digne de ce nom ? Pierre Gourdain. Nulle part en France, l’absence de gare n’a ralenti notre croissance. Cependant, plusieurs dizaines d’aménagements sont nécessaires pour faire face à l’afflux prévu de voyageurs – 20 millions dans trois ans –, il s’agit dans la plupart des cas de lieux existants. D’après nos calculs, la saturation des premières gares surviendra dès l’été 2017. Notre priorité numéro 1 est la facilité d’accès pour les voyageurs. Ensuite, le site doit absolument être sécurisé avec des espaces délimités pour cars et passagers. Enfin, par ordre d’importance : un panneau d’affichage, des sièges, un abri contre les intempéries, des toilettes, un petit guichet, du Wi-Fi et un snack. Sonia Arhainx. L’insuffisance actuelle des infrastructures est notoire et tout le monde a bricolé jusqu’à maintenant. Les aménagements à développer ou à créer sont à voir au cas par cas, selon les configurations géographiques et de trafic. Nous considérons qu’en gros, il devrait y avoir trois types de sites : soit une halte routière légère, comprenant le strict minimum, à savoir des quais hors voirie, un abri tempéré, des toilettes à proximité et une signalétique ; soit une halte « plus », comprenant en sus de l’information voyageurs en temps réel si possible digitale, et avec des commerces à proximité ; soit une gare qu’on peut qualifier de hub de mobilité, ...

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